1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 19/10/2020, Catégories: fh, 2couples, BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Masturbation

    ... commença à signaler que son estomac manifestait une certaine impatience et que leur seul repas de la journée - frugal au demeurant - était bien loin. — Aline et moi allons nous habiller pendant que vous ramassez ce qui traîne dans le jardin. Vous en ferez autant après, tenue de soirée de rigueur, nous allons dîner en ville.— Bonne nouvelle, dit Pierre, où as-tu réservé ?— Surprise, tu verras bien… Les deux amies s’éclipsèrent et se réfugièrent dans une chambre où elles avaient caché leur tenue de soirée. Elles en ressortirent plus tard, l’une moulée dans un splendide fourreau noir, l’autre vêtue d’un ensemble robe longue et veste vert sombre. Les deux robes étaient fendues très haut et laissaient voir à chaque pas leurs jambes gainées de bas. Elles étrennaient les achats qu’elles avaient faits chez Zaïra quelques semaines avant et étaient excitées comme des collégiennes avant leur premier bal. Discrètement maquillées, elles resplendissaient de jeunesse et de bonheur. L’entrée de Pierre et Nicolas dans le séjour provoqua chez leurs compagnes des applaudissements nourris. Aline avait mis son amant partiellement au courant, sous le sceau du secret, lui demandant d’amener discrètement sa plus belle tenue de soirée. Il avait choisi un smoking blanc, qu’à ses dires il n’avait porté qu’une fois. Pierre, lui, était plus classique avec le même vêtement mais en noir. Les deux couples réunis avaient fière allure. Pierre ferma la maison et proposa de prendre sa voiture. — Bien sûr qu’on ...
    ... va la prendre ta voiture, mais c’est Nicolas qui va conduire ! Tu passes derrière avec moi, les yeux bandés. Tu ne sauras où nous allons qu’une fois arrivés.— Je suppose que je n’ai pas le choix ?— Eh non ! Il faudra t’y faire, les femmes ont pris la direction des opérations. Nicolas ne sait même pas où nous allons. Le trajet jusqu’à l’auberge de Françoise et André se déroula sans incident ni erreurs de parcours. Ils furent accueillis par le couple de restaurateurs sur le seuil de la maison, comme des clients très importants. Ce qui était le cas. — J’aurais dû m’en douter ! Où aller dîner ailleurs que chez toi, dit Pierre en saluant Françoise. Comment vas-tu, ma belle, et ce petit, où en est-il ?— Laisse-le grandir. Pour l’instant il ne fait pas de bruit. Ce n’est pas comme son père. Il n’arrête pas d’en parler. Ah ! quand mon fils ceci, et mon fils cela. Je n’ai même plus le droit de faire quoi que ce soit !— Entrez donc, on ne va pas passer la nuit dehors, coupa André. Si elle commence, elle va vous parler de mon fils jusqu’à je ne sais quand.— Il est d’une mauvaise fois pas possible ou il le fait exprès ? demanda Aline à Mireille.— Il est fou de sa femme, et du bébé. Mais il en a encore pour six à sept mois à attendre, si je ne me trompe ! On n’a pas fini d’en entendre parler… Leur entrée dans la salle du restaurant ne passa pas inaperçue. Les conversations cessèrent pendant quelques secondes en hommage à tant de beauté réunie. Puis, une fois qu’ils furent installés à une ...
«1234...8»