1. Sous le soleil des tropiques.


    Datte: 21/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... teeshirt siglé au nom de l’hôtel sous lequel on distinguait un soutien gorge qui semblait avoir beaucoup de mal à la contenir. Ses lèvres rouges pulpeuses semblaient être un appel au baiser ou à une bonne fellation. Dans les yeux noisette passaient des éclairs de lubricité quand elle me regardait avec un grand sourire. Sa jupe descendant légèrement au dessus des genoux moulait une paire de fesses rebondies. Lorsque je la rejoignis le lendemain matin, sa tenue était plus décontractée. Elle portait un teeshirt blanc ample à manches courtes sous laquelle ses seins étaient libres de toute entrave et dont j’apercevais les tétons bistre en transparence. Un short taillé dans un jean coupé à hauteur des genoux, blanc également moulait encore plus étroitement ses hanches et ses fesses. Elle s’était inondée d’un parfum à la senteur de cannelle qui fleurait bon ! Elle conduisait avec virtuosité sur les routes sinueuses un petit 4 X 4 japonais dont la capote était rabattue. Après un trajet assez long (le site du volcan est à l’opposé de Saint Denis), nous sommes arrivés à un petit restaurant genre auberge en bord de route à proximité des dernières coulées de lave. Il était tenu par les parents d’Angèle, mon guide. Après voir cassé la croûte rapidement, nous savons pris deux chevaux qui nous attendaient à l’ombre (prévoyante ma belle Angèle) et nous nous sommes engagés sur un sentier montant vers le sommet du Piton de la Fournaise. La température était assez fraîche et cette ballade ...
    ... était très agréable, tantôt à découvert, tantôt sous les arbres. Nos chevaux devaient bien connaitre le trajet car à chaque fois qu’ils se sont arrêtés, j’avais l’opportunité de faire de beaux clichés. Parfois, je devais m’éloigner un peu de la piste pour choisir un angle approprié. Je fis aussi quelques belles photos d’Angèle. Lorsque nous sommes redescendus à l’auberge, il faisait presque nuit. La mère d’Angèle, une créole au teint plus foncé que celui de sa fille, nous proposa de dîner à la table familiale avant de passer sous la douche et d’aller nous coucher. Je ne m’attendais pas à ce genre de proposition. Après un dîner typique, nous avons regardé tous les quatre des photos de l’ile tout en bavardant. Il devait être 22 heures quand Angèle, sans aucune gêne devant ses parents, m’a proposé de partager sa chambre. Nous nous sommes dirigés vers une petite maison un peu à l’écart. La chambre de la belle était indépendante. Dès que la porte a été refermée, Angèle s’est littéralement collée à moi, m’offrant sa bouche pour un baiser passionné. Je sentais ses seins contre ma poitrine. Elle a glissé une main sous ma chemisette pour venir agacer mes tétons. Avait-elle deviné que j’aime cette caresse ? De mon côté, je remontai son teeshirt et je le fis passer par-dessus ses épaules. Waouh, quelle vision fabuleuse dans la semi obscurité. Des seins ronds, légèrement tombants (avec une telle masse c’est compréhensible) avec des pointes turgescentes de la taille d’un gros pois que je vins ...