1. COLLECTION DOMINANT DOMINE. Ma belle-mère croit me piéger (1/2)


    Datte: 22/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    J’ai épousé Léopold, il y a deux ans, contre la volonté de ma belle-mère. C’est une femme au regard méchant imbu de sa personne et surtout de son argent, il est vrai qu’elle est à la tête d’une immense fortune. Elle est divorcée et elle a vu en moi une arriviste qui en voulait à sa fortune en épousant son fils, la prunelle de ses yeux, surtout venant d’un milieu modeste. Elle avait raison sur un seul point, ma moralité, dès le premier coup d’œil, dès la première minute, dès la porte de sa demeure franchie, son regard qui me transperce et tout est dit, même si ce regard tueur est réciproque. Depuis cinq ans que je me suis fait prendre mon pucelage par un inconnu rencontré dans un bar, l’ayant suivi dans un hôtel où il vous fait subir tout ce qu’une femme normale découvre au fil des mois ou des années. D’autant plus si vous aimez être une salope, vous ne sortez pas pendant deux jours, vous vous faites servir vos repas dans votre chambre, apprenant à faire des fellations, avant d’ouvrir les cuisses pour perdre votre pucelage. Deux jours où il s’occupe de votre anus le sodomisant, ce que j’ai adoré et de votre vagin entraînant légèrement une douleur de trois jours, que vous acceptez, car au fond de vous vous savez qu’après la pluie vient le soleil. Pendant les années suivantes, il est vrai que j’ai rarement cherché du travail régulier, gagnant quelques billets ici ou là avec des hommes qui n’avaient de cesse pour me faire plaisir d’ouvrir leur portefeuille. Attention, quand je ...
    ... parle de portefeuille et d’argent, je n’ai pas été une pute, mais quand mon amant du moment me faisait vivre chez lui, me faisant des cadeaux, j’acceptais jusqu’au moment où je recouvrais mon indépendance. Dans cette période, deux ans avant mon mariage, j’ai connu Miky joli brin de fille qui comme moi ayant une vie assez dissolue. Avec elle, dès notre première rencontre, encore dans un bar, endroit que j’adore fréquenter y trouvant souvent pleins de surprises, elle m’a amené dans son loft, qu’elle loue et m’a appris les amours féminins. J’adore la sucer, surtout son clito assez développé, je l’aspire dans ma bouche, jusqu’à ce qu’elle crie son plaisir ainsi que nos chattes que nous réunissons et que nous frottons jusqu'à atteindre le plaisir, bien supérieur procuré par la verge d’un homme. Est-ce la tendresse qui se noue entre nous, alors que les hommes sont des queues qui nous aident à vivre notre quotidien, j’en suis quelle part persuadée. Un soir, Micky m’a entraîné dans une boîte, bon chic bon genre, rencontrer son flirt du moment. Comme nous disions entre nous, nous entrions chez le beau linge, car à porte de cette boîte, les physionomistes savaient reconnaître ceux qui avaient du fric aux traîne-savates qui avait été notre quotidien depuis que, j’avais appris à m’émanciper. Ce qui m’a beaucoup plu, outre le cadre irréprochable, c’était le nombre de bouchons de champagne qui sautaient à chaque table, ouvert par les clients friqués. Certains biberonnaient au whisky, mais le ...
«1234»