1. Miss Croft (1)


    Datte: 22/10/2020, Catégories: Hétéro

    ... gagner ? J’étais tout bonnement incapable de réfléchir, contemplant Athéna en personne. Miss Croft s’approcha avant de me saisir par le col pour me pousser sur le sofa derrière moi. Le contact de ses mains m’électrisa. Je n’osai bouger. Elle, souriante, passa les mains derrière son dos pour défaire son corsage, qu’elle jeta nonchalamment par terre ; libérant de fait sa poitrine digne d’une divinité. Mes yeux s’y perdirent ; elle s’assit sur mes genoux, non pas comme lorsqu’elle était enfant, cette fois-ci face à moi, ma tête plongée sur son buste. Opérant un effort surhumain, je réussis à lever les yeux vers son visage. — Lara, pourquoi ? Que faites-vous ? Non ! Miss Croft était pour moi comme une fille ! Je ne devais pas détruire cette relation, il me fallait résister. Je commençais à la repousser, il fallait absolument que tout cela s’arrête. — Miss Croft ce n’est pas digne d’une comtesse ! Je… Vous ne devez pas vous comportez de la sorte. Votre… Je m’interrompis. La dernière chose que je voulais était bien de la blesser. Je mon concentrai donc sur mon refus physique, en essayant de la repousser. Mais elle fut plus maligne, encore une fois, et profitant de mes faiblesses, attrapa mes mains pour les poser doucement sur ses deux seins. J’eus le souffle coupé. — Winston… J’ai bien vu comment tu me regardais récemment, tu sais… Il n’y a aucun mal à ça. Lorsque j’étais sur l’île de Yamataï ou en Sibérie, j’ai failli… Disons que j’ai été en danger plus d’une fois, et que j’aurais ...
    ... pu y laisser quelque chose que je préfère te donner. Ta famille a toujours été au côté de la mienne, tu as donné ta vie pour mon père, puis pour moi. Tu as toujours été à mes côtés ; je préfère m’offrir à toi plutôt que de partir en expédition une troisième fois et, Oh… J’avais malgré moi pressé sa poitrine, si douce, si tendre, si belle contre mes mains fatiguées et calleuses à force d’ans et de travaux. Les bouts de sa poitrine semblaient durcir à chaque seconde qui passait. Je n’arrivai pas à l’écouter parler, j’étais trop absorbée par son offrande pour réfléchir à quoi que ce soit. Je ne pensais plus à la jeune fille que j’avais élevée, mais à la jeune femme accomplie qui se trouvait en face de moi. De loin, de très loin, je l’entendis continuer en riant : — J’ai compris, je finirais de t’expliquer plus tard. Miss Croft se leva, me regardant droit dans les yeux. Je ne pus soutenir son regard, et baissant la tête celui-ci se posa sur sa fleur. Le sous-vêtement était encore trempé, et on pouvait toujours apercevoir l’embrasure de ses lèvres. La beauté de cette femme, parfaite, dépassait l’entendement. Elle s’agenouilla, avant de défaire mon pantalon. J’étais complètement paralysé, aucun son ne parvenait à sortir de ma bouche. — Ne t’en fais pas Winston, tu n’as pas besoin de dire quoi que soit. Elle avait tout compris, en un regard. Je savais ce qu’elle s’apprêtait à faire, après tout j’avais moi-même été marié. Toutefois l’époque ne s’y prêtait pas : cette pratique sembla ...