1. un été srprenant


    Datte: 23/10/2020, Catégories: Anal Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pour qu’elle soit libre de ses mouvements. À mon grand plaisir, elle ne chercha pas à se relever ni même à tourner la tête pour apercevoir cet inconnu qui maintenant lui caressait les fesses avec fermeté. Elle se concentra sur sa fellation qu’elle reprit de plus belle en s’agrippant à mon sexe et à mes couilles comme si c’était un point d’ancrage dans la tempête de sensations et de sentiments que nous ressentions tous les deux, je pense.Notre invité, devant le manque de réaction de mon épouse, s’enhardit. Il se plaça derrière mon épouse, toujours penchée à quatre pattes sur mon sexe. Il se mit à pétrir ses deux fesses à pleines mains, doucement au début et de plus en plus fermement, en les écartant de plus en plus l’une de l’autre, ce qui eut pour effet de commencer à arracher des gémissements à mon épouse. La pipe se fit moins appliquée du fait du traitement qu’elle subissait. Je distinguai notre ami passer une main entre les fesses de ma bourgeoise, lui arrachant des feulements de plus en plus intenses. Je ne voyais pas clairement ce qu’il faisait, mais cela n’avait pas d’importance. Ma femme se faisait pour la première fois caresser par un autre homme et semblait en retirer un plaisir non dissimulé.Mon épouse sursauta à nouveau quand les doigts de notre invité prirent possession de son intimité. J’entendis des « Ouh », des « Ah » et des « Oh » plus ou moins étouffés par mon sexe. Après quelque temps, le voyeur me montra un préservatif d’un air interrogatif. Je haussai les ...
    ... épaules. Il l’enfila et se plaça derrière mon épouse, qui à nouveau eut un sursaut à la pénétration de ce sexe inconnu. Les va-et-vient furent réguliers, profonds et méthodiques, faisant pousser des cris de plus en plus bruyants à mon épouse. Notre baiseur ne prononça pas un mot, juste quelques grognements.Au bout de dix minutes de ce qu’on peut appeler un limage en bonne et due forme, je sentis mon épouse sursauter un peu plus fort cette fois avec un « Ouche » sorti du plus profond de sa gorge. Ne comprenant pas ce qui se passait, je lus dans les yeux de mon épouse de la surprise et une grande excitation ; je pris ça pour de la surprise car notre pilonneur s’était réintroduit d’un seul coup de reins.Les va-et-vient reprirent, arrachant cette fois des « ah » rauques de mon épouse et de notre partenaire. D’ailleurs, les râles se synchronisèrent et s’accélérèrent de concert. Je sentis mon épouse au bord de l’orgasme, et notre invité ne devait plus être bien loin non plus. C’est Elo qui céda la première en lâchant des « Ah, mon Dieu » de plus en plus audibles puisqu’elle avait délaissé ma tige, ne pouvant résister plus longtemps aux puissants coups de reins de son amant.Puis vint le tour de celui-ci. J’entendis sa voix pour la première fois lorsqu’entre deux grognements, il dit d’une voix pleine de jubilation : — Prends ça bien au fond de ton cul, salope ! T’aimes te faire enculer, bourgeoise…Je restai sans voix car jamais je ne m’étais douté qu’il la sodomisait. Elodie est très ...