À l'arrière du car
Datte: 24/10/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
Collègues / Travail
bus,
Oral
init,
C’était dans le car qui nous ramenait d’un séjour en centre de vacances, auquel j’avais participé en tant qu’animateur. Nous avions fonctionné en duo durant tout le mois et ma partenaire, Virginie, m’accompagnait. Nous nous étions bien entendus, elle était grande, fine, châtain clair aux yeux bleus. Elle avait un peu l’allure d’un garçon manqué avec ses cheveux toujours attachés en arrière, le port permanent de jean et une poitrine réduite au minimum. Elle était toutefois jolie. Virginie avait eu deux aventures de quelques jours durant le séjour. Pour ma part, je ne l’avais jamais envisagé et je m’étais amouraché d’une autre animatrice, sans jamais avoir tenté quoi que ce soit. Nous occupions des places à l’arrière du car. Le voyage devait s’achever dans deux heures et il ne restait que peu de voyageurs, la plupart étaient descendus aux arrêts précédents. L’ambiance de fin de séjour et de séparation orientait nos conversations autour d’un bilan de ce que nous avions vécu, des gens avec qui nous avions travaillé. J’évoquais mon pseudo amour déçu, ce qui l’amusa, elle me parla de ses amourettes. Je ne sais comment ni pourquoi, mais le sujet glissa sur les relations sexuelles et nos expériences. C’est ce point qui avait été sa plus grande déception durant ce séjour. Elle me détaillait sans gêne les éjaculations précoces de l’un et de l’autre, leur indélicatesse timide… J’évoquais quelques fantasmes, mais toujours avec réserve, n’étant pas particulièrement habitué à le faire, et ...
... encore moins avec une fille. On riait, on se moquait l’un de l’autre, nous nous provoquions un peu. Il me semblait cependant que tout cela restait bon enfant. Nous en étions aux plaisirs buccaux. Elle me dit gaiement : — Seb ne sait même ce qu’est un cunnilingus et, quant à Fred, c’était sa seule forme de préliminaires, passage qui durait généralement trente secondes.— Désolé pour toi. De mon côté, je dois avouer qu’il n y a pas grand-chose à dire. J’avais haussé les épaules, un peu gêné. — Tu veux dire quoi ? Tu n’as jamais pratiqué ou aucune fille ne t’a jamais…— Hum… Les deux, mon capitaine. Elle me regardait tendrement, sourire aux lèvres. — Je te mets dans un drôle d’état, non ? J’suis désolée.— Pourquoi tu dis ça ? Elle s’approcha de mon oreille et me murmura : — Tu veux que je te suce ? Dis oui, dis non, il n’y aura pas de soucis, tu sais. J’eus du mal à avaler ma salive. Elle avait volontairement approché, jusqu’au contact, ses lèvres de mon oreille. Sa voix était suave. Je lui répondis d’un ton un peu moqueur et de défi à la fois. Ainsi, si sa proposition n’était qu’une provocation de plus, c’est elle qui se dégonflerait, et si elle était sérieuse, les choses suivraient leur cours. Après trois secondes de réflexion, je lui répondais : — Tu en connais beaucoup qui te diraient non ?— Non. J’étais du côté fenêtre. Elle porta ses mains sur ma ceinture et les boutons de mon pantalon. Je m’attendais à tout instant à une moquerie de sa part, je me disais que la plaisanterie ...