Le club de catch (1)
Datte: 24/10/2020,
Catégories:
Gay
... virilement. Il fit sentir son approbation par des grognements. Je ralentis un eu le rythme pour bien faire durer le plaisir. J’étais bien dans ce chaud cul de mâle, qui me changeait de ceux des étudiants. Je fis une pause, et Theo vint me remplacer. Une fois bien excité, je me remis à le sodomiser. Là, il commençait à haleter de plaisir. Quand ce fût fini, il me remercia chaleureusement. J’en profitai pour émettre une idée qui m’était venue : « Et si vous restiez ici ce week-end ? Theo pourrait vous baiser cette nuit, et moi, je reviendrai bien me faire enfiler par vous demain. Et j’aimerais bien que Theo filme la scène » Le père et le fils furent immédiatement d’accord. Le lendemain après-midi, quand j’arrivai, le père était en short sur le canapé, en train de mater un des films de catch que Patrick réalisait. Je me mis à quatre pattes devant lui, baissai son short et prit sa bite dans ma bouche. Theo vint filmer, sans oublier de baisser mon short pour filmer mon cul, et, écartant mes fesses avec deux doigts fit un gros plan sur ma rondelle. Je me relevai et vint m’asseoir ...
... sur le père, en m’empalant sur sa queue. Il me souleva ensuite bien les cuisses pour que Theo puisse filmer sa bite entrant et sortant de mon trou. Quand je me déclarai fatigué de la position, gardant sa bite dans mon cul, il me bascula à 4 pattes par terre, et se mit à me baiser. Et, pour la première fois, je fus baisé par un mâle, qui me donnait de grands coups de boutoir, et j’y pris grand plaisir. Dans la semaine qui suivit, Patrick organisa deux combats, auquel j’assistai en tant que spectateur. J’appréciai particulièrement le second où deux jeunes mecs costauds s’enculèrent alternativement. L’un des deux offrit même une gâterie au public, en tenant le cul de son partenaire, fesses écartées, au bord du ring, offrant le trou du cul aux doigtages du public. Le week-end suivant, Patrick m’appela, voulant goûter à ma bite dans son cul. Je me dirigeais rêveur, vers sa chambre. En peu de temps, j’avais perdu le compte de ceux qui m’avaient enfilé, et de ceux à qui j’avais rendu la pareille. Grace à Patrick et à son club de catch, l’année universitaire s’annonçait chaude. Fin