La quatrième femme de ménage est la
Datte: 25/10/2020,
Catégories:
Hardcore,
Sexe Interracial,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... était nettement plus disponible qu’il y a quelques mois. Lentement, alors que les premières gouttes de café coulaient dans un silence quelque peu pesant, je regardai Esmeralda dans les yeux et lui dis :— Vous êtes radieuse aujourd’hui !Ses yeux se plissèrent légèrement, ses joues rosirent et je vis qu’elle appréciait sincèrement mon compliment. Elle ne répondit pas tout de suite. Elle avait du mal à fixer mon regard et je cessai de la regarder dans les yeux. Son regard rejoignit furtivement mon bassin, quelques fractions de secondes, plusieurs fois, du sol au bassin, du bassin vers mon visage.— Vous avez bien dormi, Monsieur? me demanda-t-elle avec une voix presque cassée.L’émotion, sans nul doute. Je jouissais de cet instant magique.— Très bien, Esmeralda, merci. Les hommes sont comme des ours, ils ont besoin de beaucoup de sommeil pour être en forme, ajoutai-je.— Vous avez l’air en forme, répondit-elle, cette fois d’une voix plus assurée.Je souris puis ne pus m’empêcher de rire. Mon rire devint bien vite communicatif. Nous étions là, pris d’un véritable fou rire. Nous étions à un mètre l’un de l’autre; dans nos éclats, je vis qu’elle ne pouvait s’empêcher de regarder la bosse volumineuse que formait mon sexe et mes bourses. Elle riait fort mais je sentais aussi poindre l’émoi et l’excitation. Mon fou rire m’avait fait perdre mon érection mais ma queue restait gonflée, à demi érigée, dardant nonchalamment. Soudain, je me demandai si elle ne riait pas par moquerie. Dans ...
... mon esprit, tout bascula, j’en perdis mon excitation; je baissai la tête pour regarder mon sexe qui tendait le tissu de mon peignoir. À voix haute, je dis :— Oh, mince, je suis désolé Esmeralda, j’espère que je ne vous ai pas choqué !Je n’osais la regarder. J’entendis sa réponse :— Ce n’est rien, Monsieur.Sa voix était douce et quand enfin je relevai la tête, je vis qu’elle souriait timidement. Tout en recouvrant mes esprits voire mon excitation, qui revenait au pas de charge, je pris ma tasse de café et m’en allai au salon. La cuisine est ainsi conçue que par le jeu des vitres intérieures et extérieures, on y voit parfaitement ce qui se passe au salon, sans qu’il y ait face à face. Je m’assis dans un fauteuil club choisi pour son emplacement idéal et, le cœur battant, entrepris de défaire mon peignoir tout en sirotant mon café. Malgré mes quarante ans, mon corps demeure sec et musclé, ignorant les sévices de la vie sédentaire. Je m’entraîne trois fois par semaine pour entretenir ma condition physique et, à cet instant, dans le salon, je me remerciai d’être aussi svelte et musclé. Dans la cuisine, Esmeralda avait fini la vaisselle et entreprenait la pile de linge propre à repasser. Le bruit de la planche à repasser, l’eau versée dans le fer chaud, le calme, ailleurs, la maison semblait si propice à aller plus loin. J’avais desserré le nœud du peignoir dont les pans ne couvraient plus que mon sexe et mes bourses lourdes. Ma pilosité pelvienne, abondante, formait un paysage ...