An Daofin Meur (2)
Datte: 25/10/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
... très bien, tu sais. Ce n’est ni une maladie, ni une tare. — Je sais ça, mais ce n’est pas forcément facile… Quand tu es bi, tout le monde te rejette ; les homos parce que tu ne l’es pas vraiment et les hétéros parce qu’ils te prennent pour un homo… — Dans toutes les communautés, il y a des connards. On n’y peut rien. Alors quand on rencontre des gens bien, on les garde en amis et ça va. Si c’est ce que tu veux me dire, saches que, moi aussi, je suis bi et ta mère ne le sait pas. — Tu ne lui as jamais dit ? — Je n’ai pas jugé ça nécessaire car mes premières petites copines ont toujours confondu bi et homo. Quand je suis sorti avec ta mère, je l’aimais tellement que je ne voulais pas la perdre pour ça. Sans doute qu’elle aurait pu comprendre ; elle est ouverte et intelligente, mais c’est un risque que je n’ai jamais voulu prendre. — Et, t’as connu des hommes depuis votre mariage ? — De temps en temps… trois ou quatre aventures par an, ça me suffit. Ça dure quinze jours ou trois semaines et ça s’arrête. Qu’avec des amis et toujours les mêmes, depuis 30 ans. — C’est mon parrain et vos deux potes du rugby ? — Exactement, mais tu le gardes pour toi. Oh, elles vont faire griller l’autre côté. — Maman a vraiment de sacrés nibards… — Tu n’imagines même pas à quel point. — T’as déjà branlé ta queue entre ces seins ? — Ha ha ! T’es bien curieux ! Oui, bien sûr que je l’ai déjà fait. C’est délicieux… Regarde comme ils se balancent bien quand elle bouge son corps. Mais les nibards d’Enora ...
... sont très beau aussi. — Je les trouve tous plats. — Parce qu’elle est allongée sur le dos ; c’est normal. Il n’y a que les filles siliconées qui ont des seins qui gardent leur forme quand elles sont allongées. — Tu crois qu’elle va lui caresser la chatte ? — Je ne sais pas mais, aux jumelles, la petite moule d’Enora est vraiment très jolie… Mmm… Elle va vraiment lui caresser la chatte, ma parole. Regarde comme elle tourne autour de sa petite motte. — Aah… Non, elle est passée directement aux pieds. — Je n’y crois pas… Ma femme et ma fille. — On a l’impression qu’elles ont envie de faire l’amour ensemble ; ça me faitbander grave… — Je vois ça, et on est deux… Oh ça y est ! Regarde, Yann ! Elle remonte sur l’intérieur des cuisses. Yann et Loïc regardaient en gros plan, avec leurs jumelles, les mains de Maryvonne enduire de crème solaire l’entre-jambes ouvert d’Enora. — Ah, mon Dieu ! Regarde ça, Yann, ses index écartent la chatte d’Enora quand elle étale la crème sur les bords. — Putain ! Regarde la chatte d’Enora ; ellemouille comme pas possible ! — Ouh, elles sont vraiment chaudes… Qu’est-ce qui leur prend ? Elles nous allument ou quoi ? Ma femme et ma fille qui se gouinent. — Et maintenant, ça va être au tour de Maman de se faire tripoter… — Pendant 25 ans, j’ai rêvé de voir ta mère avec une autre fille sans savoir si elle aimait ça. Je ne lui en ai jamais parlé et ça n’est jamais arrivé. Et maintenant, il faut que ce soit avec ta sœur que ça arrive… — T’avais raison, Papa, ...