1. Post-divorce - épisode 3


    Datte: 25/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay Inceste / Tabou

    ... verge dressée en main et me branle adroitement. Je sens mes sphincters s'ouvrirent de plus en plus sous sa langue qui écrase la corolle. Je proteste mollement lorsqu'il enfonce deux doigts profondément entre mes fesses mais mon bassin s'écrase sur sa main pour accentuer la pénétration. Je sais qu'il va me sodomiser. Bien que j'ai honte comme jamais, je m'ouvre encore plus sous les doigts qui coulissent maintenant sans efforts. Discrètement, il se redresse entre mes jambes et se positionne jusqu’à ce que je sente son gland butter sur ma pastille.- Tu n'as jamais fait, hein ?Je fais non de la tête, la bouche ouverte, haletant.- Je vais aller doucement, murmure t’il. Au début. Après je te le ferai fort.C'est alors qu'un autre type, lui aussi arabe mais plus jeune et sapé racaille, se rapproche de nous, excité par la scène. Il sort une grosse bite molle qu'il présente devant ma bouche en m'attrapant par la nuque. Je me débats et l'arabe entre mes jambes se met à engueuler le nouvel arrivant en arabe. Le charme est rompu d’un coup et je prends pleinement conscience de ma situation. Brutalement, je repousse les deux hommes et remet mon pantalon. Le premier arabe toujours à genoux tente de me saisir par la main mais ...
    ... je me dégage. Encore sous le choc, je titube jusqu'à la sortie. Je suis dans la rue, abasourdie, lorsque l'arabe en costume me ratt**** et me prend fermement le bras. Je ne le regarde pas mais grogne les dents serrées :- Foutez-moi la paix !- Je te laisse tranquille, je comprends, ma chérie : l’autre n’avait pas à faire ça. Tiens je te donne ma carte : tu appelles et on se retrouve. Je te baiserai bien ton cul.Pendant qu’il s’éloigne, je regarde sa carte. Elle ne comporte qu’un numéro de portable. Je repense à ses paroles et m’avoue, écœuré, que tout le problème vient précisément du fait que ce qui m’a le plus excité c’est que le second type se soit imposé et m’ait traité comme une paillasse. Pendant une semaine, les pulsions vont en s’exacerbant. Je m’imagine dans le cinéma et me masturbe en imaginant le moustachu me défonçant pendant que je suce la bite de l'autre homme. Je jouis, conscient que le côté sale et dégradant et l'environnement terriblement glauque du cinéma porno m'excitent au moins autant que l'acte lui-même.Pleinement conscient de mes pulsions et des risques afférents si je ne m’impose pas un minimum de contrôle, je décide de poursuivre mon chemin sur la dépravation mais en y allant graduellement. 
«12»