Ma cousine - Histoires de Sexe

Ma cousine

Bonjour, cet épisode de ma vie est un passage important dans mon initiation sexuelle. Même si, par la suite, j’ai connu plusieurs relations (attention ; je ne suis pas un méga coureur), je privilégie la qualité à la quantité. Par la suite, j’ai eu des aventures sexuelles dont peu furent épanouissantes, certes elles restaient excitantes. C’était il y a environ une vingtaine d’années, je devais avoir entre 18 et 20 ans, je ne me souviens plus précisément. Elle n’était pas ma cousine germaine, mais la fille d’une cousine à ma mère, et nous nous voyions souvent lorsque sa mère rendait visite à la mienne. Elle avait une dizaine d’années de plus que moi. Elle était pas très grande, avait un visage bien rond, des cheveux qui frisaient joliment, des jolies fesses rebondies et surtout - et c’est sans doute depuis ce jour que j’apprécie les fortes poitrines - une paire de seins comme je les aime aujourd’hui. Elle était très affectueuse et, au fil des années, une certaine complicité s’était installée entre nous. Souvent lorsque sa mère nous rendait visite, nous en profitions pour aller dans ma chambre pour discuter ensemble J’étais content, car, durant ces moments, nous pouvions aborder tous les sujets ; le boulot, les amis et même les plus intimes me concernant ; si j’avais une copine, et, si oui, comment cela se passait… Mais, moi, à ces moments-là, c’est surtout elle qui me plaisait, j’avais très envie de la prendre dans mes bras, et de la sentir contre moi, mais surtout c’est de ...

... ses seins dont j’avais envie… D’ailleurs, il m’est souvent arrivé certains soirs de me masturber en pensant à elle, mais surtout à imaginer ses seins. Je m’imaginai en train de les caresser, de les embrasser, de lécher les tétons… Et comme j’avais pu le lire dans certaines revues pornos m’imaginer mettre mon sexe entre ses deux seins, qui, j’étais sûr, leurs auraient fait un accueil hyper favorable….et c’est, jusqu’à la jouissance que je m’imaginais les plus belles choses faites avec elle. Une fois, elle est arrivée avec un chemisier blanc qui était suffisamment transparent pour laisser apparaître un soutien-gorge lui complètement opaque, mais qui avait la faculté de bien soutenir ses seins. Nous nous sommes rendus dans la chambre et, dans la conversation, je lui dis que je la trouve joliment habillée, mais plus précisément c’est son chemisier que je trouve sympa d’autant qu’il laisse apparaître ses seins et précise qu’ils sont bien dessinés. Elle rougit, sourit, puis me remercie du compliment, mais très vite et habilement me replace sur notre sujet de discussion précédent. Je ne peux m’empêcher de lui dire combien je la trouve belle, gracieuse, certes elle était un peu enrobée, mais j’aimais les rondeurs et je les aime encore aujourd’hui. Elle esquive, mais je la sens troublée, elle précise qu’elle doit rentrer, mais au moment de partir me remercie davantage en me donnant un bisou sur la joue presque au coin des lèvres. Puis elle part en me souriant. Inutile de te dire que le ...