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Baiser utile
Datte: 26/10/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
... passerais d’une main à l'autre. Je pris l’occasion d'un congéde Williams pour déclencher mon attaque. De but en blanc je déclarais àLuc que je rêvais de déjeuner dans une nouvelle brasserie. Mon signalétait des plus manifestes.Le soir même je revins à passer une couche. J'étais à mon tour assisesur un angle de son bureau. Ma cuisse gainée d'un bas était à peu decentimètre de lui. J’adorais la façon dont il la dévorait des yeux. Nousne faisions nul effort l'un l'autre pour cacher notre désir. Nous enétions à des confidences de vieux combattants. Je lui remettais le nomd'une de ses anciennes maîtresses. Lui me ramenait au temps où jecouchais avec l'ancien patron et commandais ici à la manière d'unereine. Nous tombâmes d'accord que nous n'avions étonnamment jamaiscouché ensemble.Il se leva à cet instant et vint fermer solennellement la porte. Chacunà ce signe savait qu'il ne voulait être dérangé. Il m'enserra la tailleet m'embrassa. Je fus étonnée de ma propre émotion. On eût dit quej’attendais cela depuis longtemps. Peu après tel une panthère je coulaisentre ses cuisses tandis qu'assis il avait sorti sa queue. Je le suçaisd'abondance. Manifestement excité il tint à ce que je m’installas surson sexe. Il me lima sauvagement un instant. Son ...
... sperme inonda le fondde la chatte. Il me traita de pute avec un ton plein de tendresse.Le lendemain après le restaurant nous baisâmes une heure durant dans labagnole. Nous y étions comme deux fous furieux. J’avais idée qu'il avaitdans la tête l'image de son rival lorsqu'il m'enculait et m'insultait.D'un air triste et à la fois mystérieux il me fit la confidence qu'il nesupportait pas de me voir entrer dans le bureau de son cher Williams. Ilme demanda ce que je pouvais trouver de bien chez ce goret. Je lui fisobserver que sa jalousie était sotte et puérile. Je lui fis remarquerque Williams m’avait rendu dds services. C'était un copain auquelj'étais redevable.Il me demanda d'être ma maîtresse et de n'en rien dire à son rival. Illui plaisait assez que celui-ci fut cocu à son insu. Je n'avais rien àredire à ce procédé d'autant qu'il m'amusait. Je lui demandais parcontre s'il pourrait à l'instar de Williams me rendre de petitsservices. Il me répondit que cela allait de soi. Nous baisâmes sansdiscontinuer les dix jours où Williams fut en congé. Nous forniquionsdes fois la demi-journée à l'hôtel. Je parvins à m’aliéner tout à faitce nouvel amant. Il devint accro à ma chair et à mon cul. Il m'accordasans peine la promo de ma pauvre chère amie.