Changer et échanger
Datte: 16/10/2017,
Catégories:
grp,
extraoffre,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
jeu,
aliments,
humour,
théâtre,
Partouze / Groupe
... arrivais pas vraiment bien. Alors je le mets dans ma poche ? Bon, voilà. Agathe (en douce à Béryl) : Tu n’es quand même pas nue sous ta jupe ? Béryl : Mais si, regarde ! Agathe : Eh dis donc, comment on aurait fait si c’était tombé sur moi ? Je suis en pantalon. Béryl : On aurait commencé par enlever le pantalon. Agathe : Et je me serais retrouvée à poil devant tout le monde ! Béryl : Ne te pose de questions que celles qui se posent à toi. Agathe : Tu me donnes des leçons de philosophie ! Alex : Voici maintenant le premier plat, l’entrée. Comme vous le constatez, il s’agit d’une salade au sommet de laquelle se trouve un petit fruit. Celui ou celle qui fera rouler la tomate-cerise au fond du plat devra tirer un petit papier dans la bonbonne. Maxime : Dis donc Alex, c’est pas rien que des trucs de cul j’espère, sinon ça va finir en partouze. Alex : Calme-toi, tu as failli faire tomber la tomate-cerise. Maxime : Non, mais sérieusement, je te parle. Ça commence à craindre. Alex : La crainte du danger est mille fois plus terrifiante que le danger. Maxime : C’est bien joli, mais… Alex : Mais quoi ! Tu es en charmante compagnie avec une fille sans culotte et une autre qui nous raconte sa nuit d’amour. Et tu vas te plaindre ! Tu préférerais te trouver dans une soirée du Rotary avec des spécialistes de l’économie européenne ? Maxime : Oui, de ce point de vue, tu as raison. Agathe : Et zut, qu’est-ce que je suis maladroite ! Il a fallu que je fasse tomber la petite boule rouge. ...
... Évidemment, ça devait tomber sur moi. Qu’est-ce qu’il va encore m’arriver ? Dominique : Juste un petit papier. Ah non, pour cette fois, c’est vrai, on procède autrement. Il faut que tu mettes la tomate-cerise dans la bouche sans l’avaler. On va te bander les yeux et quelqu’un viendra t’embrasser pour récupérer la tomate. Tu devras deviner de qui il s’agit. À chaque erreur, tu perdras un vêtement. Agathe : Les yeux bandés, je préfère. Je ne veux pas voir ça. Dominique : Alors de qui s’agit-il ? Agathe : Peut-être Alex ? Dominique : Non, je me permets de vous ôter vos chaussures. Agathe : Les chaussures, je veux bien. J’ai mal aux pieds. Alors ce ne serait pas Maxime ? Dominique : Non plus. Votre jolie veste vous donnait trop chaud, n’est-ce pas ? Agathe : Oui, enfin… Si on veut. Et si c’était Béryl ? Dominique : Bravo ! On s’arrête là. Agathe : C’est toi qui m’as embrassée ? Béryl : Oui, et je suis fâchée que tu ne m’aies pas reconnue. Agathe : Écoute… Franchement… Béryl : Tu ne te souviens plus de nos baisers à l’internat ? Agathe : Tais-toi ! Béryl : De nos caresses sous la douche ? Agathe : Je t’en prie, tais-toi ! J’ai honte. Béryl : Moi, je n’ai aucune honte. Je t’ai humée, baisée, aimée. Agathe : Tu es adorable. Excuse-moi. Alex : Voici le plat de résistance ! Tous : Oh ! Alex : Oui, c’est un cochon de lait. Une chair exquise. Et à l’intérieur, attendant qu’on la libère, une tourterelle. Quand je vais ouvrir le ventre du cochon, elle va s’envoler et se poser sur l’un de nous. ...