1. Un long week-end de jouissance


    Datte: 28/10/2020, Catégories: f, h, fh, fplusag, fagée, extracon, cadeau, alliance, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, légumes, pénétratio, humour, bellemere,

    ... jeu, et elle sait très bien ce qu’elle fait ! ». À la deuxième audition, ce qui devait arriver arrive. Je suis à nouveau excité. Je regarde l’heure : 22 heures, ma femme ne rentrera pas avant trois quarts d’heure. J’efface l’enregistrement en regrettant de ne pouvoir le conserver et appuie sur la touche rappel. Deux sonneries et c’est Maryse qui répond, d’une petite voix : — Ah c’est toi, Nathalie, ça pouvait attendre demain, tu sais.— Non, non, c’est Frédéric. Je vous dérange ?— Je m’endormais, Frédéric. Qu’y a-t-il de si important ? C’est vrai que Maryse a un téléphone à côté de son lit. La situation est très excitante ! — Rien, rien, je voulais juste vous dire encore merci pour tout à l’heure. Et m’excuser de mon égoïsme.— Ah, mais ce n’est pas si grave, je vous l’ai dit. Et puis ce n’est pas grand-chose, quand on peut faire plaisir, vous savez. J’entends sa voix résonner, elle a dû mettre le chorus. — N’oubliez pas de dire à Nathalie de me rappeler quand même ! Je ne sais pas ce qu’elle a, mais elle a l’air pressée que je raccroche. — Alors je vous souhaite bonne nuit, Maryse. Votre bouillon de légumes était bon ? Elle a son petit rire que j’aime tant et qui a le don de m’exciter. — En fait je ne l’ai pas préparé. Je ne sais pas si c’est le champagne ou les folies que vous m’avez fait faire, mais je n’ai eu qu’une envie, c’est celle de me coucher. J’entends toujours sa voix résonner et son souffle me semble court, voire haletant. Pourquoi tient-elle à garder les mains ...
    ... libres ? — Vous n’avez pas votre voix habituelle, Maryse ? Vous n’êtes pas malade au moins ?— Mais non, Frédéric, ne vous inquiétez pas.— Vous êtes bien emmitouflée dans votre pyjama de flanelle ?— Vous voulez tout savoir, hein ? Eh bien non, je suis nue. Tout à l’heure quand je suis allée à la cuisine, j’ai trouvé les légumes sur la table, et figurez-vous qu’il y avait une courgette qui m’a fait penser à vous. Juste la même taille et la même forme oblongue. Alors vous voyez, je suis en train de la réchauffer entre mes seins. Vous aimeriez ça, Frédéric ? Elle a repris le contrôle de la situation ! Rien que la pensée de ma queue entre ses seins me fait de nouveau bander. Et elle continue : — Je masse mes seins sur votre belle courgette, Frédéric. J’adore sentir quelque chose de dur entre mes globes. Je me caresse les bouts. Vous savez, mon mari adorait ça. Combien de fois ai-je étalé sa semence sur ma poitrine ! C’est sans doute pour cela qu’ils tiennent encore si bien, il paraît que ça nourrit la peau. Mais lui il s’endormait tout de suite après, et souvent il fallait que je me finisse toute seule dans la salle de bain. Vous n’êtes pas comme ça, vous, Frédéric ?— Non, non, Maryse. Et je commence à me caresser en l’écoutant. — Vous savez, maintenant la courgette est bien chaude, je la promène sur mon ventre. Vous aimez mon ventre, Frédéric ? J’aime sentir une queue palpiter contre mes bourrelets, vous aimez aussi, Frédéric ?— Oh oui, Maryse !— Alors racontez-moi, à votre tour.— ...