1. Anna poursuit l'initiation de Valérie


    Datte: 28/10/2020, Catégories: fh, ff, fplusag, Masturbation Oral 69, init, Lesbienne fsoumisaf, ffontaine,

    Résumé de l’épisode précédent :Anna et moi Valérie se laisse séduire par sa jeune collègue Anna. ________________________ Le retour sur terre ne fut pas aisé… Assise à mon bureau, la jupe retroussée et le string poisseux je mis quelques secondes à réaliser que je venais de jouir sous les caresses d’Anna. Où était-elle d’ailleurs, cette charmante blonde ? Un bruit d’eau me fit comprendre que la belle débarrassait probablement ses mains de ma cyprine. Je rougis à cette pensée et me levai pour tenter de mettre ma tenue en état, lissant ma jupe et remettant mon chemisier en place. Anna revint à cet instant et me sourit, s’approchant de moi sans me toucher réellement. Les yeux dans les yeux, nos doigts se frôlèrent et aucune de nous deux n’osa un geste supplémentaire. Elle prit son sac et s’éloigna. Sur le pas de la porte elle se retourna : — À lundi ? Tu peux me joindre ce week-end si tu en as envie. Rassure-toi, je ne te harcèlerai pas. Je ne répondis rien, émue par son beau sourire et touchée par sa délicatesse. Elle aurait pu profiter de la situation mais elle me laissait tranquille, imaginant sans doute mes tourments. Seule, je rassemblai rapidement mes affaires pour quitter au plus vite mon bureau qui me semblait sentir le sexe et la luxure. Le trajet en voiture passa rapidement et je fus heureuse de constater que la maison était vide, ne me sentant pas capable de faire comme si de rien n’était avec mon mari. Vite, une douche ! Mes talons claquaient sur le sol tandis que je ...
    ... me dirigeais vers la salle de bain. Je me débarrassai rapidement de mes vêtements, jetant pêle-mêle ma jupe, mon chemisier et mes dessous. Je ne résistai pas à la tentation de humer mon string et fus troublée par les effluves de mon plaisir récent. Je n’en revenais pas ! J’avais joui sous les caresses d’une femme ! Si mon mari savait cela… L’eau tiède me fit du bien, et les yeux fermés je me savonnai, d’abord vivement, pour ôter toute odeur suspecte mais improbable, puis plus lentement. La mousse recouvrit mes seins qu’Anna avait juste effleurés. Le contact de mes doigts les fit aussitôt frémir, et loin de toute culpabilité je repris les caresses en repensant à ma jeune amante. Je me remémorai son beau visage aux yeux clairs à la blondeur scandinave orné d’une bouche magnifique au goût de framboise. Enivrée par l’odeur sensuelle du monoï et les souvenirs de mon après-midi, j’empaumai mes poires un peu tombantes pour jouer avec mes pointes sensibles, dressées, et je gémis comme une heure plus tôt dans mon bureau. Je sentis mon sexe frémir de désir et ne résistai pas à l’envie de me caresser plus précisément. Je pressai mes lèvres gonflées, m’excitant davantage, et dans un mouvement circulaire tant de fois exécuté depuis mon adolescence je retrouvai rapidement le chemin du plaisir sans surprise, mais avec moins de force qu’une heure plus tôt entre les doigts de ma chérie. Je jouis debout dans un petit cri, les muscles crispés puis si relâchés que je me laissai glisser lentement ...
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