Christine II : Retour de flammes (3)
Datte: 29/10/2020,
Catégories:
Hétéro
... réclamée. Nous quittons l’établissement. Nous rentrons chez elle à pied, main dans la main. Dans le hall d’entrée de son appartement, Christine s’agenouille et me suce avant de me faire glisser entre ses seins. Je n’attendais que ça. Dans la chambre, je découvre le porte-jarretelles que Christine porte sous sa jupe, rouge lui aussi. Un 69 intense accompagne les préliminaires, durant lequel je doigte son petit trou avant de le lécher avec délicatesse. Christine vient à califourchon sur moi, de face, puis de dos. J’en profite pour chatouiller une nouvelle fois son anus. En missionnaire, elle jouit à deux reprises avant que je ne descende la lécher une nouvelle fois, glissant rapidement à sa rose. Je viens sur elle : — J’ai envie de te prendre par derrière. — Florent, je ne l’ai jamais fait. Nous en étions si proche quatre ans auparavant que j’ai du mal à la croire. Elle assure : qmbqsskh — J’en avais incroyablement envie ce soir-là, je te voulais tellement en moi. Laurent voulait, mais moi non. Hubert ne m’en a jamais parlé. Elle n’a pas de gel. Je la prépare au mieux avec de la salive et sa cyprine. Malgré ma douceur, Christine peine à se détendre. Elle veut quand même que j’essaye de la pénétrer. En chien de fusil, j’enfile lentement mon gland. Elle suffoque à son passage. J’entame de courts allers-retours, lui demandant sans cesse si ça va. Elle dit que oui, mais grimace. Je me retire. ...
... Excité, je me masturbe en regardant le large fessier que je viens de pénétrer. Je jouis sur ses fesses. Elle se tourne vers moi, m’enlace : — Je pense que ça aurait été plus facile il y a quatre ans. Nous rions. Plus tard, au moment de nous coucher, nous refaisons l’amour de manière très tendre, très douce. Il est près d’une heure du matin quand Christine éteint la lumière. Le réveil sonne à 6h30. Christine profite de mon gourdin matinal et s’y empale vivement. Je la pelote tandis qu’elle sautille rapidement sur ma queue. Elle jouit très bruyamment. La levrette finale est non moins énergique et je me permets de claquer son cul à deux reprises. Au café, Christine révèle : — Depuis que je travaille, j’aime baiser au réveil, ça booste ma journée ! Le soir, nous nous téléphonons et, sentant Christine s’emballer, je lui explique que je ne veux pas m’engager. Je préfère avoir des relations plus légères, je n’ai pas envie de me caser pour le moment. Douche froide. Elle n’est pas contente et me dit qu’elle ne sait pas si elle veut continuer de cette manière. Je lui dis que je respecterai sa décision. Deux jours plus tard, elle dit préférer ne pas continuer. Elle est extrêmement déçue, mais elle a peur de tomber amoureuse et de souffrir. Elle dit qu’elle se prend déjà trop la tête après deux rendez-vous. Fin de l’histoire ? La veille de Noël, je reçois une invitation : Christine fête ses 25 ans et m’invite.