Gustaw le vigile.
Datte: 29/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... aime ça ! Tout ça pour humilier nos époux… Et nous, comme des connes, on les cocufie en se faisant niquer par vos grosses bites… Nous avalons votre jus en vous taillant des pipes… il est vrai que vos queues et vos couilles sont beaucoup plus grosses que le zob et les boules qui pendent entre les jambes de nos maris…Vous aimez bien les enculer eux aussi, ils finissent par prendre du plaisir… à prendre gout à se faire trouer le cul… Je me gargarise de mots, tous plus vulgaires les uns que les autres. Je ne me reconnais plus... et çà me rend encore plus excitée, si c’était possible. Là-dessus Gustaw ajoute : - Ben, ce n’est pas plus mal, si tout le monde y trouve son compte. On aime bien enculer vos mecs, les prendre par les couilles, caresser leur gland décalotté… Certains nous supplient de leur taper une branlette, ou de nous tailler une pipe…et ils avalent ces cocus… Nos femmes maintenant, chassent les petites françaises pour les gouiner. Et ça commence à marcher. Hier soir, ma sœur s’est amusée avec la mère de sa copine. Elle l’a fait jouir une bonne partie de la soirée. Tu l’aurais entendue hurler de plaisir. - Salaud, tu m’excites là. Tu ...
... me demandes de me faire maquer par ta sœur, c’est ça ? Je me suis jamais fait gouiner encore, mais pourquoi pas. En attendant, j’aimerais bien me le faire mettre… ce dernier petit coup pour la route. J’enjambe Gustaw et m’empale sur son calibre toujours en érection en poussant un cri de plaisir. Gustaw me prend les seins, titille les bouts. Je glisse une main entre ses cuisses, lui gratte les couilles. Quand je sens qu’il va jouir, je me retire, j’enlève rapidement le préservatif et le prend en bouche. Les jets de sperme giclent au fond de ma gorge. Commence alors un doux nettoyage du gland. J’ai passé un après midi inoubliable, à me faire niquer, sodomiser, sucer, à jouir. Gustaw m’a rendu folle : - Quel amant merveilleux tu es… tu m’as rendu heureuse cet après midi… Tu sais, je n’ai pas fini mes achats… Il est dix huit heures quand je finis de me rhabiller. Je sais, avec regret, que je dois renter chez moi retrouver Guillaume qui, heureusement fait des heures sup’ et ne sera là que vers 21 heure... En guise d’au revoir, je prends Gustaw par le cou, lui donne un sulfureux baiser et lui promet de revenir. Qui sait, sa sœur sera peut-être là…