Découvertes
Datte: 30/10/2020,
Catégories:
h,
ff,
jeunes,
freresoeur,
vacances,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
ecriv_f,
... tête commençant alors à remonter le long des jambes de ma soeur. J’ai alors une vue inoubliable et exceptionnelle sur l’intimité d’Emilie. Comme elle est sur les genoux, les jambes écartées, sa croupe est tendue vers moi comme une invitation. Je peux ainsi me régaler du spectacle de sa chatte bien dessinée et de son cul. Celui-ci est légèrement écarté et j’arrive à voir sa rondelle rose. Hmmmm, qu’on doit être bien serré dans ce trou ! Malgré moi, je frotte ma queue par-dessus mon short. Emilie est en train de dévorer la chatte de ma soeur. Elle donne des grand coups de langue sur toute la longueur de son sexe, puis cherche le clitoris, le trouve et l’attrape entre ses lèvres. Elle l’aspire et le suce. Ma soeur gémit, crie, tout son corps tremble, ses bras sont tendus, ses mains agrippent la serviette. Ses jambes sont maintenant en l’air, largement écartées. Concentrée sur le plaisir qu’elle donne à Audrey, Emilie ne s’oublie pas pour autant et, de mon point d’observation, je distingue nettement sa main droite s’agiter sur sa chatte. Puis deux doigts y pénètrent, allant et venant avec rapidité. Je n’en peux plus, tous ces bruits, ces images, ces corps superbes me mettent au supplice. Je m’apprête à baisser mon short pour participer à ma manière, lorsqu’une vibration se fait sentir au niveau de ma hanche. C’est mon portable qui vibre. Ma mère ! ...
... Je l’ai complètement oubliée. Je m’éloigne rapidement avant de décrocher pour ne pas me faire repérer. — Et alors ? Qu’est ce que tu fabriques ? Tu m’avais promis d’appeler ! Ça fait cinq minutes que j’attends ton coup de fil !— Oui, excuse-moi. J’ai oublié.— Pourquoi chuchotes-tu ? Où es-tu ?— Je suis dans la forêt, j’observe la nature. Je voudrais ne pas gâcher ce spectacle.— Dépêche-toi de rentrer. Vite. Elle dit cette dernière phrase d’un ton qui n’admet aucune autre réponse que l’obéissance. Je raccroche et retourne sur les lieux de mon observation, mais ce que je craignais s’est produit. Elles ont quitté la place. Déçu, je descends avec mon vélo dans l’eau et m’assoit à leur place. Ça sent la femme, le plaisir, le sexe. Toutes ces odeurs me redonnent ma vigueur et je ferme les yeux. Je les revois. Je me déshabille, saisis ma queue tendue dans ma main et je me branle. Il ne me faut pas plus de cinq ou six allers et retours pour éjaculer et répandre ma semence sur le sol meuble de la forêt. Je me relève et rentre tranquillement chez moi, d’un pas léger, la tête pleine d’images. Je marche lentement pour ne pas rattraper les filles. Finalement, l’été ne sera peut-être pas si ennuyeux que ça. Mais, désormais, ce ne seront plus de simples randonnées que je vais faire, je vais partir sur le chemin de l’observation. Et je serai équipé. Dès demain.