Hélène : la rupture 1ére partie
Datte: 30/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... débarrasser. J’appuie son visage contre mon foin intime, je sens sa langue contre mon orchidée. Il me fouille. Il se décolle légèrement. - Je vois que tu les as gardés. Et il commence à lécher mon Néfertiti. Je fonds, j’écarte mes cuisses pour mieux m’ouvrir. Je chavire sous cette attention qui m’a tant manquée. Puis doucement, il pousse sa tête contre mon ventre et me fait basculer en arrière, sur le lit. J’éclate de rire. Il se débarrasse de son pantalon et de son caleçon et plonge dans le lit et dans mes bras. Nous ferons l’amour toute la journée et une partie de la nuit, nous arrêtant seulement pour nous doucher, piqueniquer dans les draps ou faire une mini sieste pour récupérer et recommencer. Je me réveille le dimanche après-midi, le brunch est déjà sur le lit, dévasté par nos retrouvailles amoureuses. Une fois fini le plateau, je me lève, nue, et tranquillement, en me tournant de trois quarts, je me penche pour chausser mes talons. J’adore cette posture qui met mes fesses et mes jambes en valeur, sans compter mes seins qui pendent en liberté entre mes bras. - Tu fais quoi, me demande-t-il - Je m’habille, fais-je en enfilant mon pull, à même la peau, - Tu ne t’encombres que du minimum. - Tu viens m’aider à chercher mes affaires ? Continue-je. Et je commence à enfiler ma grande jupe en m’inclinant pour lui agiter une deuxième fois mon beau cul insolent sous le nez. - Tu ne mets pas de culotte constate –t-il, avec une voix légèrement étranglée. - Elle est sale, c’est ...
... pour ça que je vais en chercher d’autres. Allez, conduis-moi, mon chéri. J’ai plein de malles à déménager. Je me retourne vers lui. Un léger sourire complice orne son visage. Très chatte, je me colle à lui. Et les lèvres dans son cou, je lui susurre. - Je vois que mes fesses te font toujours autant d’effet, mon chaton. Comme nous sommes un dimanche après-midi, aucun problème pour nous garer devant mon immeuble. Je pousse la porte, Pierre me suit. Je monte deux marches. Puis prise d’une inspiration soudaine, je sollicite mon amant. - Ta main, s’il te plait Il me comprend à demi-mot. Ses doigts se posent sur ma cheville puis remontent le long de mon mollet puis de ma cuisse. Je pose mon pied sur la marche supérieure, lui ouvrant l’accès à l’intimité de mon entre jambe. Son index et son majeur se glissent dans ma chatte, chiffonnant au passage mes petites lèvres. Son pouce s’insinue entre mes fesses et masse mon œillet. Je monte une marche et le coquin en profite pour pénétrer mon anus qui n’attendait que ça. Je ferme les yeux, et je retourne quelques années en arrière, lors de notre premier rendez-vous amoureux, quand il m’a offert mes dessous rouges. La grimpée de l’escalier se transforme alors en montée au septième ciel. Mon intimité sollicitée des deux côtés ruisselle. Je perds la tête. J’aimerais être surprise par ma vieille fille de voisine pour lui montrer mon impudeur et mon bonheur retrouvé. Arrivée à mon palier, il dégage ses phalanges. Je m’en empare, et le fixant dans ...