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La tempête de neige
Datte: 30/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation Oral
... croissants et confiture. Elle ne portait qu’une nuisette transparente qui ne cachait rien des trésors que j’avais tant embrassés cette nuit. — Tu es déjà sortie ?— Bien sûr. La pâtisserie est à côté ; je n’avais qu’à passer mon pull et mon manteau.— Et tu n’avais rien d’autre ?— Non, pourquoi ? C’est interdit ?— Pas du tout ; mais tu aurais pu attraper la crève.— Tu es là pour me réchauffer, n’est-ce pas ? Je ne répondis pas et me contentai de la regarder en me disant que j’avais eu une chance de pendu avec cette tempête de neige qui m’avait fait connaître Marie-Anne dans des conditions extraordinaires. Je la regardais, je fixais ses seins gonflés aux pointes grosses comme des noisettes. Elle n’avait pas remis son slip sous sa nuisette. Et dire qu’elle est sortie comme ça… — Tu n’avais pas de culotte à la pâtisserie ?— Non. Cela t’ennuie ?— Ce n’est pas ça. Tu aurais pu avoir un accident ; et alors ?— Je ne pense pas à tout ça. Je n’en ai pas mis pour aller plus vite. Je crois que si tu restais avec moi, je prendrais goût à sortir avec toi, toute nue sous ma robe. Et pourquoi pas sous mon manteau de fourrure ? Ça doit être excitant de me dire que je pourrais être surprise comme ça. Tu te rends compte de ce que je suis en train de dire ? Cela ne m’est jamais arrivé. Tu m’as rendue folle de plaisir. Alors, mon chéri, qu’en dis-tu ? Cela te plairait ?— Bien sûr, mais ce n’est pas le cas. Nous ne vivons pas ensemble, et je le regrette.— Bah ! Tu reviendras.— Certainement. Si tu ...
... acceptes, je passerai le prochain week-end avec toi.— Tu ferais ça ? Tu es merveilleux. Vivement samedi !— Je te le promets. D’ailleurs, je ne rentre chez moi qu’une fois sur deux. Je n’ai pas trop de billets de train.— Je peux aller te chercher à la gare de Namur ? Nous referons le voyage ensemble. Je veux revivre notre rencontre.— Pourquoi pas ? Et si tu es toujours d’accord, je viendrai chaque mois ou chaque quinzaine.— Tes études sont encore longues ?— Si je réussis chaque année, il me reste un an et demi. Sinon, un peu plus longtemps.— Je ne peux pas te demander d’échouer pour avoir le plaisir de t’avoir à moi plus longtemps.— On ne sait jamais ; un gros ennui est vite arrivé.— Je ne te le souhaite pas. Nous avons encore fait une fois l’amour avant mon départ. Ce fut aussi brillant que la veille car elle fut encore plus amoureuse. Elle vint me reconduire à la gare. Sur le quai, elle me prit dans ses bras et m’embrassa follement, au point que des passants toussotèrent, un peu gênés. Elle me fit promettre de revenir bien vite. — Je te l’ai promis, lui dis-je en la quittant. Le train démarra mais elle resta sur le quai jusqu’au moment où le train disparut dans un virage. Je rentrai chez moi, bien fourbu mais heureux. Ce dimanche-là, on m’appela au téléphone chez les voisins. Leur sourire en disait long… Marie-Anne voulait savoir si j’étais bien rentré. Je ne pus parler beaucoup parce que des oreilles se tendaient. Pourtant, elle me fit comprendre qu’elle avait envie de faire ...