La bonne du curé
Datte: 31/10/2020,
Catégories:
f,
h,
fplusag,
inconnu,
religion,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
légumes,
fdanus,
hdanus,
hgode,
... tabouret, l’œil collé au mur, rivé à un trou habituellement caché par une image pieuse. Saint Michel terrassant le dragon était posé face contre terre et la bonne observait avec curiosité l’intimité du prêtre. Cela faisait bien longtemps que le spectacle n’avait pas été aussi agréable. En quarante années de bons et loyaux services, Léontine avait eu à maintes occasions la possibilité d’observer les curés successifs dans leur bain. L’abbé Roubier avait 72 ans à la veille de sa mort et son physique n’avait plus rien à voir avec celui de son remplaçant. L’abbé Delamarre était grand et assez bien bâti. Un léger embonpoint trahissait une certaine tendance à la gourmandise, mais dans l’ensemble son corps était ferme et musclé. Léontine se réjouit à l’idée de le voir souvent faire sa toilette, dans l’intimité de sa petite chambre. Inconscient d’être observé, le père Delamarre profitait de son bain. Le voyage avait été long et éprouvant et il était bien content de pouvoir se détendre. Ce bain lui en rappelait un autre, au séminaire, quelques temps avant son départ. Cette évocation ne le laissait pas indifférent. Sa main glissa lentement le long de sa cuisse et, presque machinalement, il se saisit de sa bite. Léontine, perchée sur son tabouret, ne perdait rien de la scène. Oh certes ! Elle en avait vu des branlettes solitaires se passer dans la salle de bain en quarante ans. On a beau être prêtre, on n’en est pas moins homme. Même l’abbé Roubier s’adonnait encore à ce petit jeu sans ...
... conséquence la veille de sa mort. Cependant, le fait de découvrir si rapidement la virilité du nouveau curé la troublait plus qu’elle ne l’aurait pensé. Le voir maintenant s’astiquer le membre à pleine main entraînait des fourmillements dans son propre bas ventre. Elle connaissait bien ce symptôme familier et savait qu’il lui faudrait éteindre sous peu le feu qui couvait dans ses entrailles. On a beau être bonne du curé, on n’en est pas moins femme. Dans son bain, le jeune curé astiquait voluptueusement son pénis gonflé. Sa large main droite enserrait le membre turgescent, montant et descendant alternativement le long de la hampe. Les doigts de l’autre main étaient repliés sur le gland luisant et en caressaient le bout avec douceur. Les pensées du prêtre étaient tout entières tournées vers les étreintes viriles qui avaient précédé son départ du séminaire il y a quelques mois. L’ambiance exclusivement masculine du pensionnat n’avait pas été pour rien dans la révélation de ses tendances homosexuelles. Les parties fines étaient le lot quasi quotidien des plus jeunes séminaristes, encadrés dans ce domaine par les plus anciens. Devenu ancien à son tour, il n’avait pas hésité à prendre le relais et à former lui aussi les nouvelles recrues. La boucle était ainsi bouclée, mais il appréhendait maintenant de se retrouver seul avec son sexe, perdu dans le petit village de la Creuse. Dans la pièce d’à coté, Léontine laissait libre cours à ses pulsions intimes. La main sous le tablier, ses ...