Kinshasa - Limete
Datte: 31/10/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
douche,
amour,
Oral
... merde ! On n’est jamais tranquille. Pour la discrétion, c’est gagné ! *** Dix-huit heures, je sors des ateliers centraux, sommairement décrassé. La journée a été difficile, le grand tour m’a donné du fil à retordre, pourtant j’ai rattrapé le retard accumulé cette semaine. Je suis à nouveau sur mon planning, le chronogramme comme on dit ici. Je n’en suis pas peu fier. Nestor m’attend avec sa tête des mauvais jours. Il me dépose devant la demeure du conseiller, mon hôte désormais. — Fais bien attention à toi !— Merci, Nestor, je ferai attention. Bon week-end, enfin ce qu’il en reste ! Vite sous la douche, je suis crasseux, puant. Heureusement, je n’ai croisé personne en entrant, à part le boy qui a ouvert la porte. Avec sa carrure de débardeur, il ne doit pas être seulement portier, probablement garde du corps, ANR ? Allons bon, je deviens parano, maintenant ! Je me prélasse sous le jet d’eau chaude, me délectant des fragrances fruitées de mon gel douche. C’est un de mes moments préférés de la journée, avec la première gorgée de bière marquant le début de la soirée. La douche est un grand espace carrelé de ce vert émeraude typique des années soixante, aménagé dans un coin de la salle de bain. L’eau tombe à même le sol en légère pente et disparaît par un large sterput, un petit seuil l’empêche d’inonder le plancher de la chambre. Soudain, une petite diablesse me saute dessus, cherche à me faire tomber, me chatouille en riant comme une enfant. Je l’attrape et la maintiens ...
... contre moi. Je voudrais la soulever comme un sac de patates, mais je m’en abstiens par crainte de glisser. Elle est nue… La sentir, chaude et palpitante, tout contre moi, avec ses cheveux mouillés plaqués sur la tête, provoquent une modification anatomique prévisible, et surtout visible. Ses petites mains partent en exploration, caressent, tiraillent, soupèsent, ses doigts fourragent dans ma toison. Elle lève la tête vers moi et me confie : — Tu sais, je n’avais encore jamais touché un mundélé !— Aucune Africaine ne m’avait touché, non plus !— Ta femme est bien tunisienne, non ?— Oui, mais là-bas, ils ne se considèrent pas comme des Africains.— …— Alors ? C’est comment un mundélé, vu de près ? Tenant toujours mon sexe entre ses mains, elle répond : — Je m’attendais à ce qu’il soit plus petit. Il est dur… et pas très droit. Amusant ! Et la femme africaine te plaît ?— J’aime ta peau souple et lisse, ta couleur d’ébène. Ta poitrine est douce et ferme. Tu as une cambrure à damner un saint. Je commenterai ta fleur quand je l’aurai butinée !— Qu’attends-tu pour goûter ? me lance cette petite délurée.— Pas sous la douche, toute la saveur, tout le parfum seraient emportés par l’eau !— Moi, je ne suis pas aussi compliquée ! Et joignant le geste à la parole, nullement gênée par l’averse d’eau chaude, elle décalotte le gland avec lenteur, y pose ses lèvres, suçotant, léchant. Puis elle le gobe, joue avec sa langue, ses joues, son palais. Mes mains se sont posées sur sa tête, accompagnent le ...