1. Une Semaine à la neige (1)


    Datte: 31/10/2020, Catégories: Transexuels

    ... utilisée et usée, puis je fais une petite sieste, 17h mes colocs ne sont pas encore là, je reçois un texto signalant qu’ils seront pas là avant que je ne parte, l’occasion pour moi de me faire un petit plaisir et de partir de chez moi déjà prête, dans la minute je suis nue dans ma chambre, ma valise ouverte, j’enfile une culotte tanga noire en dentelles, des collants noirs très fins, un body noir en tulle et un petit short noir que je n’avais pas emporté, j’enfile mes bottines et je file me maquiller, petit coup de fond de teint, crayon léger, mascara, rouge à lèvres et je suis prête, J’ouvre la porte de la maison et je sens le vent froid sur mes jambes, il fait froid mais j’adore me trouver dans cette situation, je marche vite jusqu’à ma voiture pour que personne ne me voit et je prend la direction de la "banlieue" de Marseille, Je suis très excitée de me retrouver dans cette situation, travesti dans le trafic et dans ma petite voiture féminine, je roule doucement et arrive finalement sur le lieu du rendez-vous à 18h25, comme prévu je sortais de ma voiture et allumais une cigarette , je devais m’éloigner du parking en longeant une petite route, il devait me prendre un peu plus haut sur la route, je marchais à la lumière des phares, le jour étant tombé tôt et le gris du ciel aidait à rendre le décor toujours plus sombre, je rêvais tout en marchant quand un gros 4x4 s’arrêtait à côté de moi... — Estelle, monte ! Dit une voix Je m’approchais coté passager mais la voix reprit : ...
    ... — NON ! DERRIERE SALOPE ! Je m’exécutais et montais à l’arrière, sans un mot il redémarra et il roula pendant 10 minutes avant de s’engager sur un petit chemin de terre, puis un autre et nous nous sommes vites isolés des sentiers je n’osais pas parler, seul le son de sa radio était audible, l’ambiance était électrique, inquiétante mais aussi très excitante , la route devenait plus difficile, quand il trouva un coin il s’arrêta et toujours sans un mot il sortit de sa voiture, se dirigea vers le coffre et je le vis en sortir un rouleau de scotch, de la corde et un sac de couchage, il ouvrit la porte arrière et me dit : tcztmmip — Petite salope, 25ans, tu me plais, tu vas vivre l’enfer, tu as encore 3min pour me dire si tu veux rentrer chez toi, sinon tu es à moi jusqu’à Lundi prochain je te déposerai à ta voiture, si tu ne me conviens pas, je te paierai un train pour rentrer avant, en attendant, tu vas me donner ton porte-feuille, ton téléphone et tes clés de voiture, tu n’existes qu’en tant qu’Estelle, ma petite chienne. — J’accepte, je ne me suis pas engagé pour rien, je ne recule pas ! Rétorquais-je avec aplomb Choqué par l’assurance de ma réponse il resta silencieux ce qui me permit l’observer par la même occasion, il faisait facilement 2 mètres mais n’était pas gros, costaud était le bon mot, cheveux bruns très noirs, très masculin, il aurait été bucheron que ça m’aurait pas étonné, il me regarda fixement, puis sourit avant de me dire : — Bien, tourne toi. Je me tournais ...