1. Un représentant bienheureux


    Datte: 17/10/2017, Catégories: fh, campagne, fgode, pénétratio, jeu, aliments, extraconj, jeux, Collègues / Travail

    ... liqueur. Ma langue savoura les délices de la belle qui commença à se tordre de plaisir. Sa torture ne faisait que commencer. J’ôtai le foulard de son visage en le faisant glisser lentement sur ses seins, m’amusant à balayer son corps avec. Elle découvrit ma nudité. Mon sexe tendu, était près de son visage. Je le frottai sur son corps, ses seins, ses lèvres… Elle essaya de prendre mon sexe dans sa bouche et à chaque fois qu’elle réussit à l’attraper, je me retirai, la faisant languir. Son minou brillait par l’abondance de sa cyprine. Elle se débattait sur son lit comme si elle voulait se défaire de ses liens. Elle me supplia : — S’il te plait détache-moi au moins une main que je puisse te toucher, te caresser. Installé maintenant dans le Voltaire, près du feu, en face d’elle, je me masturbai, lentement, un petit sourire malicieux, je lui lançai : — Viens ma chérie, rampe jusqu’à moi pour venir me sucer ! Elle cria son impatience et me traita de salaud ! Sa torture devenait insupportable. Elle ne pouvait même pas se toucher pour calmer son excitation. Elle me réclama à boire et à manger. Sur la table il y avait quelques fruits. J’ai fait suivre la corbeille. Je défis, un par un, les grains de raisins que je mis dans ma bouche pour qu’elle les attrape du bout de ses lèvres. Puis j’ai pris une banane que j’épluchai devant elle, en regardant ma prisonnière bien dans les yeux avec mon petit air coquin en lui murmurant : — C’est pour qui, ça ? J’approchai le fruit de ses lèvres ...
    ... qu’elle essaya de mordre avec rage ; puis vers son sexe et j’ai commencé à promener la banane sur ses lèvres intimes nappées de sa cyprine en faisant pénétrer partiellement le fruit. Je portai la banane à sa bouche en lui interdisant de manger la banane mais de la sucer. Je trouvai sa façon de faire très érotique. Elle savoura le fruit avec passion en fermant les yeux. Je choisis une deuxième banane pas trop mûre, très ferme, que j’enfonçai plus profondément dans son minou en gardant le fruit entre mes lèvres, le poussant avec ma bouche, la godant avec un plaisir coquin. Elle souleva son bassin, se tordant dans tous les sens. Elle me cria : — Viens, prends-moi ! Je ne tardai pas à remplacer la banane par ma queue qui n’en pouvait plus d’attendre. Comme pour le fruit, après l’avoir frotté sur sa chatte, je lui offris à sa bouche. Je sentis la belle cavalière à point. Elle trépignait d’impatience, même les pieds hors du sol. J’ai défait ses liens et elle m’a aussitôt enlacé très fort en me disant : — Vite, prends-moi tout de suite, je n’en peux plus d’attendre, je t’en supplie ! J’ai trop envie de toi. Nous avons passé une nuit d’amour torride. La belle était encore somnolente, les cheveux ébouriffés quand j’ai dû la quitter au petit matin. Un long baiser interminable sur ses lèvres. Nous avions du mal à nous quitter. Elle me dit : — Bon, pour le cabriolet, il faudra reprendre rendez-vous avec mon mari ! Mais toi, tu pourras revenir quand il sera absent, nous avons encore tellement ...