1. L'occasion


    Datte: 02/11/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, couple, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, initff, fsoumisaf,

    ... continue de laper son abondante cyprine, tandis qu’elle se débat, agitée de mille soubresauts. Brusquement, elle me repousse, les sensations doivent être à présent trop fortes. Alors, je me redresse entre ses jambes, agenouillé, et je la regarde jouir. C’est beau une femme qui jouit, c’est magnifique ! Je laisse passer le temps, elle reprend petit à petit ses esprits. J’essaye de graver en moi son corps, comme si je ne devais plus jamais la revoir. Mémoriser ses courbes, se souvenir de ses plaines, de ses monts, de ses vallées, de tous ses paysages qu’elle m’offre… — Eh bien, mon Nono, tu n’y vas pas de main morte !— De langue morte…— Si tu veux ! En tout cas, je sais que tu sais te servir de ta langue… C’est pareil pour le reste ? C’est alors qu’elle ouvre les jambes, une invitation claire et nette de ce qu’elle désire maintenant. Agenouillé devant elle, sexe bien pointé en avant et me penchant sur elle, je l’embrasse délicatement. Puis sans effort, je plonge en elle. Elle m’accueille avec un soupir d’aise, ses ongles dans mon dos, son bassin qui ondule, ses jambes qui ne se nouent aux miennes. Elle murmure : — Hummm, enfin ! Depuis le temps !— Je suis très bien en toi, tu sais ?— Ah oui ? Je vais te faire regretter le fait de ne pas m’avoir baisée plus tôt, mon Nono ! Tu vas voir ça !— Je le sais déjà… je le sais déjà… J’entre et je sors avec rythme, allant un peu plus loin en elle à chaque coup, étant un peu plus rude. Ses ongles griffent ma peau, ses jambes serrées ...
    ... autour de moi, offerte et exigeante. Petit à petit, je me laisse aller, grognant en sourdine à chaque plongeon en elle. Je sens distinctement la bête qui monte en moi, je ne sais pas bien jusqu’à quel point je dois me limiter, temporiser, si je dois tenter de rester un homme, ou si je peux chuter dans la débauche et l’animalité. — Oh oui ! Vas-y, mon petit salaud !— Tu en veux ?— Oh oui ! J’en veux ! Alors je me laisse glisser, ses griffes labourent mon dos, l’homme que je suis devient animal. Comme possédé, je pistonne cette femelle en chaleur qui glapit sous moi, je la force, je l’explose, je la possède, car elle est à moi, elle est ma proie ! Cent fois, je plonge en elle, dans ses profondeurs humides et chaudes ! Cent fois, elle gémit, elle m’appelle, elle me subit ! Mille fois, je la prends, je me saisis de son corps frémissant et impatient ! Mille fois, je me retire, je l’abandonne, je la délaisse ! Mille fois, je l’absorbe, je la dévore, je la consume ! Elle crie, elle se débat, elle refuse, elle se cabre ! Une longue plainte, un dernier refus, un ultime frémissement, elle hurle son plaisir, son abandon ! Alors j’explose en elle, me vidant sans retenue parmi des cris gutturaux, comme un barrage qui cède, libérant des flots impétueux, comme un volcan qui crache sa lave, ravageant tout sur son passage ! --oOo-- J’ouvre un œil, Matilda est penchée au-dessus de moi. Je l’attire à moi pour l’embrasser. Nos lèvres restent longtemps soudées ainsi. — Eh bien, mon Nono chéri… ...
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