1. Le départ


    Datte: 02/11/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail voiture, facial, Oral 69, humour,

    ... son côté, elle glisse une main entre nous, saisit mon sexe, et le tient fermement. — Alors, la femelle a-t-elle bien assouvi son mâle ?— Totalement ! Je suis épuisé.— Alors, éteignons la lumière, et dormons comme ça. J’aime sentir un homme contre moi quand je dors, ça me manque. Enfin, plutôt pour être honnête, j’aime que ce soit vous contre moi… J’arrive en me contorsionnant un peu à éteindre les lumières. Je me serre contre Nadine, l’embrasse sur la bouche. Nous nous endormons comme ça, la journée ayant été assez… fatigante. Lorsque je me réveille quelques heures plus tard, le soleil passe un peu à travers les persiennes. Je me redresse sur le lit. Nadine dort encore. Elle est à plat-ventre sur le lit, un bras replié sous sa tête, les jambes un peu écartées. Ses fesses sont splendides. Je la contemple. J’ai envie de me masturber en la voyant comme ça, mais je ne voudrais pas compromettre mes performances pour la journée, qui risque d’être sexuellement intense. — Plutôt que contempler mon cul, Patron, prenez-le ! Comme ça, je profite de cette belle journée naissante…— Vous ne dormez plus ?— Ah moins que je ne parle en dormant, non. Allez, prenez-moi, que la journée commence de la meilleure façon qu’il soit. En disant cela, elle cambre les reins pour libérer l’accès à son sexe. Je m’agenouille derrière elle, puis m’allonge sur elle. Je positionne mon sexe devant le sien, insère mon gland entre ses lèvres. Puis, tout doucement, je la pénètre. — Hmmm. Se faire enfiler au ...
    ... beau matin, au réveil… Quelle merveille. Et tout en douceur, en plus. Je lui fais l’amour lentement, tendrement. Elle n’a pas bougé, elle s’abandonne à moi. Je lui fais des petits bisous dans le cou, lui caresse les flancs, les épaules, le dos. Elle est toute douce, mon sexe coulisse facilement en elle. J’accélère un tout petit peu le mouvement. — C’est mieux que la branlette matinale, hein, Patron.— Sans commune mesure, Nadine. Vous êtes sublime et divine. Jamais je n’avais connu de femme qui aime tant le plaisir charnel ! Avec elle, c’est simple, c’est sain, c’est… le bonheur à l’état pur. — J’aime sentir votre sexe en moi, vous savez. C’est doux, chaud, mille sensations agréables. Prenez-moi tant que vous en avez envie, je suis toute à vous. Je ralentis la cadence pour en profiter longtemps. Je suis au bord de la jouissance, j’aime cette sensation. Si j’accélère, je vais jouir. Profitons-en. Enfin, plusieurs minutes plus tard, je me libère à grande saccades dans son ventre. Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps. Nadine n’a toujours pas bougé. — C’est tout chaud… Vous allez me remplir, là. Dieu que c’est bon. Et en plus, espèce de salopard, vous m’avez faite jouir trois fois ! Pas le gros orgasme comme hier, des petites jouissances successives… Sacré Patron !— C’était géant pour moi aussi, vous êtes…— Baisable ?— Heu, ce n’est pas le mot qui me venait à l’esprit…— Bitable ?— Nadine !— Mettable, alors ?— Quelque chose comme ça, oui. Elle me fait sourire avec ses petites ...
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