Le départ
Datte: 02/11/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
voiture,
facial,
Oral
69,
humour,
... vous dans le rôle du Prince-Charmant, et moi dans celui de Cendrillon ?— Par exemple, oui.— Alors, golf, bof, tennis je suis nulle, le reste ça me va. Mais il faut que je passe chez moi prendre quelques vêtements plus adaptés.— Vous habitez où ? Elle me donne l’adresse, que je rentre dans le GPS. Dix minutes d’après la machine. Ok, c’est parti. Avec le main libre de la voiture, j’appelle l’auberge dont le numéro est dans le répertoire, vu qu’il m’est déjà arrivé d’y emmener quelques conquêtes. — Bonsoir, Philippe Tardieu à l’appareil. Auriez-vous une suite disponible pour ce soir et demain soir ?— Bonsoir Monsieur Tardieu. Oui, tout à fait.— Très bien, j’arriverais vers 22 h. Merci de préparer un en-cas pour deux dans la suite.— Ce sera fait, Monsieur Tardieu.— Merci, à tout à l’heure donc. Je raccroche. Coup de bol, une place de libre devant l’immeuble de Nadine. Je me gare. — Je vous attends là, le temps que vous prépariez votre sac.— Je fais vite. Ne bougez pas ! Elle sort de la voiture et trottine jusqu’à la porte d’entrée. Elle disparaît, comme avalée par l’immeuble. Je sors de la voiture pour fumer une cigarette. Sympa et calme, son quartier. Le temps pour moi de finir ma cigarette, elle est de retour. — Voilà, je suis prête.— On est parti ! Nous sortons de la ville, prenons l’autoroute. J’enclenche le régulateur, puis je pose ma main sur sa cuisse. Elle pose la sienne dessus. — Vous savez, Patron, ça fait des années que j’ai envie de vous. Ça doit être le syndrome de ...
... la secrétaire, je pense. Et en plus, avec vos cheveux courts et sans barbe, vous êtes littéralement craquants. J’adore…— C’est réciproque, Nadine. Mais j’ai toujours été contre les… « rapprochements » professionnels. Je vous avoue que je prends des risques, ce week-end. J’espère ne pas avoir à le regretter.— Vous ne le regretterez pas, vous avez ma parole. Le boulot c’est une chose, le reste, autre chose. En disant cela, elle fait glisser ma main plus haut sur sa cuisse, vers son ventre. — Et si jamais vous mettez votre main sur mon sexe, je ne réponds plus de rien.— Ah bon ? Et que ferez-vous si jamais ce cas de figure se présentait ? Lentement, Nadine a écarté ses jambes, m’ouvrant la voie sur son entrejambe. Je fais glisser encore plus haut ma main, tout en haut de sa cuisse. — J’hésiterais entre appeler le syndicat pour dénoncer un harcèlement sexuel, ou dégrafer ma ceinture de sécurité pour pouvoir me pencher vers vous, ouvrir votre pantalon, et prendre votre sexe dans ma bouche, histoire de vous donner une petit avant-goût du week-end. Je me tâte… Je décale ma main pour la poser sur son sexe, et entreprends de la caresser à travers le jean. — D’un autre côté, un vendredi soir tard, il n’y a plus personne au syndicat. Je continue mon massage appuyé. Elle écarte encore plus les jambes et s’allonge un peu dans le fauteuil. Je descends un peu ma main. — Là, c’est bon… Je profite un peu, d’accord ? Et regardez la route aussi, au moins de temps en temps… Sa respiration se fait ...