Le départ
Datte: 02/11/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
voiture,
facial,
Oral
69,
humour,
... notre réservation. Nous prenons la clé et allons dans la suite. À peine entrée, Nadine va ouvrir les robinets du jacuzzi. Au milieu du salon est installé une table avec de la charcuterie, des légumes frais et des desserts. — Le repas est servi, Nadine. Nous nous installons à table. — Vous savez, Patron, pour l’émission…— Oui ?— Qu’est-ce que vous allez faire, si vous découvrez des choses qui ne vont pas du tout ?— Analyser les dysfonctionnements, et y remédier via des notes de service, pourquoi ?— Non, je parle du fait que si vous découvrez qu’une des employées est nulle ou mauvaise, vous pourrez difficilement invoquer une faute lourde, vu que vous l’aurez découvert sous une fausse identité !— Mais je n’ai pas l’intention de le faire ! Si jamais ce cas de figure se présente, lors de l’entrevue où je me présenterais réellement, je lui dirai ce que j’ai à dire. Après, si elle n’en tient pas compte, à ce moment-là, on utilisera l’arsenal légal et réglementaire pour y remédier.— Oui, c’est mieux. Après, normalement, vous allez tomber sur des bonnes collaboratrices, donc le problème ne devrait pas se présenter.— Bon, allez, dites-moi pourquoi vous divorcez, sauf si ma question est trop indiscrète ?— Non, ce n’est pas indiscret, en plus, avec le traitement que vous venez d’infliger à mon petit cul, on n’a plus beaucoup de secret entre nous. Eh bien, en fait, il a changé. Avant, il était aux petits soins pour moi, et maintenant, il n’y a plus de place que pour ses potes, pour le ...
... foot, bref, je fais partie des meubles. Pas terrible comme vie de couple, non ?— Assez classique, en fait. Triste, mais classique.— En plus, les rares fois où il consentait à me faire l’amour, c’était bâclé, vite fait, aucune recherche du plaisir de sa partenaire. Mécanique, lamentable. Allonge-toi, écarte les jambes, hop hop hop, fini. Bref, on a décidé de divorcer. Il est parti vivre chez sa mère, le pauvre chou. Et vous ?— Le mot qui me vient à l’esprit, c’est… « futile ». Elle ne s’occupait plus que duLion’s club, de soirées pseudo-mondaines. On ne se parlait quasiment plus, plus d’amour, plus de sexe, plus d’imprévu, plus de vie en fait. D’un commun accord, on s’est rendu nos libertés.— Oui, Barbie divorcée… Pour le même prix, la maison de Ken, la voiture de Ken…— Non, de ce côté-là, pas de bagarre. Heureusement qu’on avait fait un contrat de mariage, sinon, j’y aurais laissé des plumes. Enfin, c’est terminé, une page se tourne. Vous savez que vous êtes à votre quatrième gâteau ?— J’adore… En plus, je ne grossis pas, j’ai une chance monstre. Et puis j’avais faim… Me faire trousser par mon boss, ça ouvre l’appétit !— Vous avez un langage des plus châtiés, dites donc. Quelle différence avec la Nadine du bureau !— J’aime bien, je trouve que ça met du piment dans la sexualité. Ça vous gêne ?— Non, du tout. Au contraire, même. Mais ça fait un peu mauvais film porno, non ?— Ah, vous regardez ce genre de film ? Pas moi. Je préfère la réalité au virtuel.— Et moi donc !— Maintenant, ...