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Ma tante de 45 ans est sublime (16)
Datte: 03/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... ne me vint à l’esprit. J’eus devant moi la vue de San Francisco avec en contre bas le cul majestueux de ma tante. La perfection à l’état brut ou pur sur les deux tableaux. Et je pensai, ah si j’avais été peintre (!). Je crois bien que le cul de ma tante m’aurait inspiré au-delà de la baie de San Francisco. J’eus en face de moi sa paire de fesses semblable à deux pommes belles à croquer. Chantal dandina son petit derrière, comme une femelle prête à se faire prendre. Je ne sus que faire, je restai admiratif devant ma tante nue sur la table, avec sa croupe alléchante. J’en oubliai qu’elle fut la petite sœur de ma propre mère, je m’installai devant ce tableau féerique en posant chacune de mes mains sur ses fesses savoureuses. — Mes fesses te plaisent mon cher neveu ? — Mais oui ma chère Tatie. — Elles sont à toi. Dit-elle sur un ton affirmatif. Je fis des baisers sur la peau claire de chacune de ses pommes. Je voulus goûter la saveur de ce fruit, j’approchai mes lèvres de son intérieur et ma langue se coula entre ses fruits pour y atteindre le noyau. Un noyau doux, pur et délicat dont il fallut s’en occuper avec une infime précaution. J’y plaçai de mon écume tout autour. Ma tante frétilla de cette offrande soudaine, puis ma langue vint à sa rencontre. Elle ne broncha pas lorsque mes lèvres effleurèrent cette partie si intime à une femme. — Ca faisait longtemps chéri et que c’est bon ! — Alors à mon tour de parler cru ! J’adore te lécher ton si joli cul ma tante. — Mais c’est ...
... loin d’être désagréable et j’attends avec impatience la suite. Sur ces derniers mots, instinctivement Chantal se cambra davantage. J’écartai cette fois ses fesses pour y appliquer ma langue contre ledit noyau en le léchant avec une extrême finesse. La patience fut de mise, je m’appliquai d’une manière studieuse afin de passer à l’étape suivant. Avec l’écume déposée, je décidai d’une technique nouvelle, je mis mon doigt contre son bel anus en le laissant à l’entrée. — Chantal, fais pénétrer mon doigt en toi. — Tiens c’est nouveau. — Tu vas aimer ma belle Tatie. — Avec toi, j’aime tout ! Dit-elle avec un ton franc. Ma tante recula son bassin, mon doigt visitant le début de son orifice. Puis Chantal y prit goût et fit des allers retours d’une manière si savante que mon doigt se fit invisible. Un deuxième suivit de la même manière. Cette façon de laisser prendre l’initiative à Chantal m’excita au plus haut point. Voir mes doigts disparaître dans le cul somptueux de ma tante me parut inimaginable, même si ce ne fut pas la première fois. Mais ce côté toujours irréel de faire toutes ces choses avec la sœur de ma mère resta présent dans mon esprit. Je baisai ma tante à l’abri des regards en réalisant un vieux fantasme, vieux fantasme atteignant son apogée lorsque je m’apprêtai à la sodomiser. Je tirai une fierté certaine de donner un plaisir intense à ma tante, avec une telle pratique. De plus, ce fut encore moi qui l’avait initiée du haut de mes 19 ans et depuis, Chantal était devenue ...