1. Les aventures sexuelles débridées de Patrick. (2)


    Datte: 17/10/2017, Catégories: Hétéro

    ... horrible et merveilleux supplice touche à sa fin quand il passe le pas de la porte de ma chambre. Quand il me dépose sur le lit, le mouvement déclenche de nouveau des spasmes qui me scient le bas-ventre déclenchant de nouveau des contractions vaginales une force inouïe autour de son gourdin prisonnier de ma matrice. — PUTAIN… NOOONNN… PAS ENCORE… OUUUIII! Tout mon corps tétanisé se relâche enfin, le regard dans le vague, je ne réalise toujours pas la tempête que cet homme a déclenché en moi et l’entends dire, dans un état second : -à-moi maintenant ! Comme ta mère, je n’arrêterai que quand tu demanderas grâce ! — Dans mon état, je n’ai pas bien saisis ce qu’il vient de me dire sauf ses derniers mots. -Comme tous les hommes, tu ne doutes vraiment de rien, grand vantard ! - Qui vivra verra! Récit de Patrick Je prends ses deux chevilles et repousse ses jambes de chaque coté de son visage et commence à la pénétrer avec une extrême lenteur de toute la longueur de ma bite, je n’ai jamais connu une chatte si profonde, puis je me retire à la limite que mon prépuce ne quitte ses grandes lèvres irritées de ces frottement répétitifs et de nouveau pousse entièrement ma teub en butée au fond de sa grotte. Je donne un mouvement de roulis à mon bassin écrasant à chaque tour son clitoris entre nos deux corps pendant que mon gland essaie de violer la frontière de son utérus. — Oh, Patrick arrête… Je ne peux plus supporter ça, je te sens partout, c’est merveilleux! Je t’en prie, n’arrête ...
    ... jamais! Fais moi encre décoller... Que les femmes sont belles dans ces moments là! Je me retire et du bout du gland glisse le long de sa fente dégoulinante de cyprine pour folâtrer sur son clito. L’effet est immédiat, elle se mord les lèvres de plaisir et son vagin essaie de se contracter pour emprisonner le bout de ma queue quand je glisse de nouveau en elle. Ses contractions augmentent en fréquences et en intensité quand j’exacerbe son clito du bout de mes doigts pendant que ma bite continue son boulot dans son fourreau. Elle ne tarde pas à repartir, elle est encore pire que sa mère ou sa sœur. — Oh Patrick… Ouiiiii j’y suis presque ! Oh OUI… NON ! Prends-moi plus fort, plus loin! — Il faudrait te calmer Murielle. Prends le temps d’apprécier sinon tu ne tiendras pas la distance, laisse-moi aussi jouir de ton merveilleux corps! Pendant ce temps, j’explore la raie des fesses du bout des doigts testant progressivement la résistance de son anus à la pression de mon majeur. Elle s’énerve à chaque fois que je me retire et remue du cul pour m’appâter mais je la laisse se morfondre. Elle est tellement chaude qu’il lui faut quelque chose dans la chatte et essaie de se branler avec sa main droite mais je m’y oppose et prenant ses deux poignets. Elle regarde mon outil de travail, pleine de frustration, s’en saisie et essaie de se goder avec et me supplie en faisant semblant de pleurnicher : - Ooooooh, espèce de salaud, qu’est ce que tu attends pour me baiser ? Vas-y bordel de merde ! ...