1. Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (3)


    Datte: 28/06/2017, Catégories: Divers,

    ... ne va pas durer longtemps ! » dis-je, pour achever de la décider. Finalement, elle se décide à descendre de la voiture son sac en toile à la main. Je la sens un peu gênée, et en même temps amusée de se prêter à cette « expérience ». Nous entrons dans le restaurant puis dans les toilettes. Quand nous ressortons de nos cabines respectives, je lui murmure : « Avant que tu partes, je voudrais te voir… nue encore une fois ! » « Tu n’es pas raisonnable, Bob ! » dit-elle, en m’appelant par mon prénom. « Mais où peut-on faire ça ? reprend-elle, comme si elle ne voulait pas me décevoir. « Entrons ici ! » dis-je, en lui ouvrant une cabine. Une fois à l’intérieur, Eva se défait de sa minirobe et se retrouve nue. Et, à sa grande surprise, je commence à couvrir son corps nu de baisers, des épaules aux chevilles, en passant par les seins, le ventre, le sexe et les cuisses ; puis du haut du dos aux talons, en passant par les hanches, les fesses et les cuisses. «Pour garder le souvenir charnel de ton corps, de tes jolies petites rondeurs que j’adore ! » dis-je, avec fougue. Je vois Eva rosir de plaisir. Elle se rhabille, ajoutant juste son soutien-gorge à sa minirobe et nous gagnons le restaurant, pour boire une citronnade assez fraîche. Je ...
    ... remarque qu’elle s’est assise nonchalamment sur la banquette, et que son sexe est peut-être visible. « Tu es excitante ! » je murmure ces mots en posant une main sur son genou, sous la table (elle est assise en face de moi)…. C’est à ce moment qu’une voix familière se fait entendre : on appelle Eva. C’est sa sœur, Jana, qui nous a aperçus par la fenêtre du restaurant. Eva lui demande d’attendre un peu. Fébrilement, elle cherche la culotte dans son sac, et, plus ou moins discrètement, parvient à l’enfiler, sans trop se faire remarquer, semble- t-il. Une fois sortis du restaurant, nous regagnons le parking avec les parents et la sœur… la sœur qui porte un short en toile, assez court, dégageant bien ses jolies cuisses un peu rondes. Il est vrai que les deux sœurs se ressemblent assez, morphologiquement, du moins. « A l’année prochaine ! » dis-je avec empressement à Eva. « Pour l’an prochain, c’est sûr ! » me répond-elle. Les portières claquent. Leur voiture démarre. Je me mets au volant de la mienne. Je dois faire demi-tour pour gagner la frontière autrichienne. Quinze jours de vacances encore. Pourtant, j’ai le vague sentiment qu’elles viennent de se terminer, d’une certaine façon. Fin du 3eme épisode et fin des vacances de 1972. A suivre … 
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