Basculer en enfer (3) - Histoires de Sexe

Basculer en enfer (3)

... revient vers moi et approcha son visage du mien : « hum, tu as le visage recouvert de ma mouille » Puis me lécha le visage avant d’engouffrer sa langue dans ma bouche. « maintenant c’est à mon tour » Elle m’enleva le pantalon et commença une vigoureuse branlette. En à peine deux ou trois minutes je jouis, elle dirigea mon sexe sur seins énormes que laissa entrevoir sa nuisette, sa poitrine fut recouverte de sperme dégoulinant. Je voulu absolument voir ses seins alors je lui enleva sauvagement sa chemisette, et c’est deux gros obus apparu enfin, des énormes tétons me faisait face j’en pris un en bouche. Elle repoussa mon torse au fond du canapé et me saisit la bite pour me la sucer et encore une fois elle y mit un rythme d’enfer. Sa bouche dégagea de gigantesques bruits de succion et à se train je jouirais sans doute une deuxième fois mais elle ralenti et me prodigua une branlette espagnol. Elle vint ensuite se mettre à califourchon et planta ma queue au fond de sa chatte, elle poussa un cri ...

... aigu. Tout en se balançant, elle m’embrassa langoureusement. « baise moi gamin » m’ordonna t’elle. Elle présenta ses seins devant mon visage que je me pressais de repousser étant recouvert de mon sperme de ma 1ère éjaculation, mais elle s’amusa de la situation, alors je la retourna et la prit violemment en levrette. « ah tu es bien comme ton père, tel père tel fils« me dit-elle Me stoppant net, « que veux tu dire ? « « tu ne crois quand même pas que tu es la premier de la famille à me baiser ! » « T’es vraiment une salope ! » Puis je la pénétra avec plus de vigueur qu’avant « Oh oui… et je l’ai toujours ét… annnnnhhh » Elle fut parcouru dans un orgasme foudroyant et je ne tarda à venir aussi, je sortis mon membre et arrosa ses grosses fesses de tout mon foutre. « tu t’es bien débrouillais gamin, et désolé pour l’histoire de ton père, je voulais juste te mettre en rogne ! « Me fit-elle avec un clin d’oeil. Elle m’embrassa et partis à la douche pendant que je me rhabillais et rentra chez moi.