Hélène et son kiné
Datte: 04/11/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
médical,
massage,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Ce soir est un soir comme je les aime, le temps est doux, j’écoute de la musique et surtout j’attends Hélène, que je vois peu, mais avec qui chaque rencontre est un plaisir renouvelé. Et comme d’habitude cette attente me rend fébrile, excité, même presque angoissé. Drôles de sensations qui m’envahissent chaque fois. Je sais qu’elle ne peut se libérer avant 21 heures, mais je suis déjà prêt à la recevoir. Assis dans mon fauteuil buvant un café je me remémore notre dernière rencontre, qui remonte à 3 semaines. Je la revois, magique. A 50 ans, elle a toujours son corps de jeune femme, mince, une peau blanche et douce, la cambrure de ses reins et sa taille fine mettant en valeur ses fesses. Ses petits seins aux bouts si vivants n’ont rien perdu de leur fermeté et pour couronner le tout, un sourire et un regard bleu et tendre empreint de timidité, qui lui donne une grâce irrésistible. Et ce ventre plat, lorsqu’elle ondule, la rend si féline. Rien que le fait de penser à elle, me trouble déjà. Perdu dans mes pensées, je ne vois pas le temps passer, lorsque tout à coup on frappe à la porte. Je regarde l’heure, c’est elle !! Je suis un peu gêné, car je vais lui ouvrir avec une belle érection. Même si on ne s’embarrasse jamais de longues conversations, dû au manque de temps, cette façon de la recevoir n’est pas très romantique. A peine la porte ouverte, elle me saute au cou et m’embrasse comme chaque fois avec tendresse et ardeur à la fois. Je fais tout pour qu’elle ne s’aperçoive ...
... pas de la situation, mais trop tard, car elle a déjà passé une main sur l’objet du délit. «Je vois que tu ne t’ennuies pas tout seul» me dit-elle d’un air coquin. Je bégaye des mots incompréhensibles qui démontrent mon trouble. Je la regarde lorsqu’elle se dirige vers le salon, sa robe moulante met comme d’habitude sa chute de reins en valeur, elle marche droite et fière, elle en rajoute sûrement sachant l’effet qu’elle produit sur moi. Elle s’assied dans le canapé sa jupe remonte sur ses cuisses gainées de bas noirs. Je baisse un peu la lumière ce qui rend l’ambiance plus feutrée. «Serge ça ne va pas?» demande-t-elle devant mon air un peu hébété. «Si Hélène je suis seulement en admiration devant ta beauté.» Elle prend un petit air faussement gêné. «Allez viens» répond-elle en tapotant sur la place vide à cote d’elle. Je ne me fais pas prier et la prends dans mes bras. Tout en l’embrassant, ma main se pose sur son genou et commence à monter sur sa cuisse Je passe sous sa robe et atteint le liseré de ses bas. Au premier contact de sa peau, si douce à cet endroit, je sens un courant qui me traverse le corps. Ça ne fait pas 10 minutes qu’elle est là, que je suis déjà en plein émoi. Ma main continue à monter, je sens déjà la chaleur de son sexe à travers la soie de sa petite culotte sans même la toucher. Le crissement de ses bas lorsqu’elle bouge, ses cuisses qui s’écartent et se referment sur ma main, ses petits soupirs, ses baisers, tout ça me rend fou. Avec la pénombre, le blanc ...