Police polissonne (17)
Datte: 05/11/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... Leur section se retrouve seule sur la place. — Le caporal vous a expliqué la suite des événements ! Vous allez quitter la vie et la tenue civile pour revêtir la tenue militaire, et respecter cette vie que vous avez choisie. Alors c’est le moment : déshabillez-vous ! À poil tout le monde et vite. Stupéfaits les stagiaires étonnés regardent le sergent, mais il hurle à nouveau : — On vous a dit : à poil ! Vous vous magniez le cul, on n’a pas que ça à foutre ! Vous déposerez vos fringues dans le fut, l’un après l’autre dans l’ordre et en silence. Wolski c’est à vous ! Sonia se déshabille entièrement, mais en offrant un simulacre de strip-tease en regardant l’homme droit dans les yeux avec un air effronté, il ne bronche pas ; il l’admire avec des yeux ronds comme des billes. Les autres se déshabillent également, puis elle saisit son jeans, son tee-shirt, s’approche du fut et jette le tout dans le bidon. Cette cérémonie grotesque aux yeux de tous a un impact particulier sur Sonia. Tous ses camarades se sont débarrassés de leur tenue civile et rejoignent les rangs. Même si la nudité ne la dérange pas, elle trouve cette cérémonie idiote mais elle lui plaît et en jetant ses affaires dans le fut, car elle a l’impression de changer de vie pour de bon. Un nouveau monde s’ouvre devant elle, et elle sent que la tâche va être difficile avec ce gorille de sergent. Ce changement de vie est scellé par le caporal qui, un bidon à la main verse un liquide dans le fut sort un briquetZippo de sa ...
... poche, enflamme un morceau de papier et le jette dans le fut. Un « Wouf ! » et le feu dévore leurs effets personnels ; Sonia vient de perdre le peu qui lui restait. — Garde à vous ! hurle le sergent. Nue au garde à vous, Sonia bombe le torse, les seins dressés et les tétons érigés ; comme elle aimerait pouvoir se regarder ! Et ce sergent qui aboie ses ordres comme un doberman, car il ne sait parler autrement qu’en hurlant avec cette attitude ne plaît pas vraiment à Sonia. Elle trouve déplacé de hurler ainsi sur les gens, mais elle s’amuse de cette situation et sourit. Le sergent s’approche d’elle très près et commence à lever ses mains en direction de sa poitrine. — Alors, je peux savoir ce qui vous fait sourire ? Elle pouffe car elle au bord de l’éclat de rire. Elle ne répond pas, mais elle comprend instantanément les intentions du militaire qui approche ses mains d’elle ; et cette fois la colère monte rapidement. Sonia est marseillaise, elle a vécu dans la rue et c’est battu pour subsister, et n’est pas du genre à se laisser faire. L’homme continue à avancer doucement ses mains et forme une pince avec ses pouces et ses index. Elle est maintenant certaines des attentions de l’homme, et là, elle devient tigresse : ses yeux, s’ils le pouvaient lanceraient des éclairs, ses ongles deviendraient des griffes acérées. Elle est prête à bondir et hurle : — Vous me touchez et je vous explose les couilles ! L’homme ricane et fait mine de ne pas entendre, mais il n’anticipe pas le violant ...