1. LA PK ANDRE 01


    Datte: 17/10/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... lécher le gland. C'était bon, je le laissait faire. Il passait sa langue autour de ma queue, ça me chatouillait un peu mais c'était terriblement agréable. Je ne m'étais pas touché pendant une semaine, je ne m'étais pas branlé pendant un peu plus même … J'avais l'impression de bander plus fort que jamais, ma queue était dure comme un morceau de bois qui restait bien planté à la verticale, redressé contre mon ventre. Denis tirait ma bite vers lui pour bien la prendre dans sa bouche, mais quant il la relâchait elle se relevait avec force et frappait contre mon ventre. Je lui caressait les cheveux, au bout de quelques instants je devenais plus actif, je ne me contentait pas de le laisser faire. Quand il avançait la tête, j'avançais mon bassin et j'appuyais sur sa tête avec douceur. Il me tirait vers lui en me prenant par les cuisses, ma queue rentrait entièrement dans sa bouche, jusqu'à sa gorge, ses lèvre remontaient jusqu'à mon ventre, j'appuyais sur sa tête, c'était tellement bon. A cet instant je me suis dit que ce boulot était génial, l'ambiance était agréable et les fins de semaines semblaient prometteuses … Il résistait et retirait sa tête, je le laissais faire, je gardais mes mains autour de sa tête toujours en lui caressant les cheveux. Il revenait, je poussais mon bassin plus fort, un peu plus vite, il sursautait mais il encaissait, bien à fond. Je sentais le plaisir monter, je ne tendais pas de me retenir. Encore quelques mouvements et je jouissais dans sa bouche, il ...
    ... n'attendait que ça ! Il avalait et continuait à me biberonner avec douceur. J'étais aux anges, j'étais au paradis. Je débandais rapidement mais je sentais sa langue qui passait sur mon gland, qui me léchait ma queue sur toute sa longueur en s'attardant juste au niveau du frein, et quelquefois remontait pour me caresser le gland. Sa main me caressait également la bite au moment ou elle ressortait, il me masturbait doucement et il ne fallait pas longtemps pour que je bande à nouveau comme un fou. Satisfait du résultat il se relevait et me tournait le dos. Denis : Maintenant défonce moi le cul. Tu sera mignon . Sans rien dire je prenais position, je me savonnais abondamment la queue et en faisait de même avec son cul. Je posais l'extrémité de ma bite juste sur l'ouverture de son trou de balle, il relevait la tête, je poussait, il gémissait, je forçais, ça rentrait, il râlait de plaisir … Je poussais fort, il râlait d'autant plus fort mais ne me demandait pas d'arrêter. Mon ventre touchait ses fesses. Je me retirais rapidement et revenais à la charge tout aussi rapidement. Il encaissait, il poussait des cris. Des cris de plaisir des cris de douleur … ? J'espère pour lui que c'était du plaisir car moi je m'en moquait de lui faire mal ! A cet instant je ne pensais qu'à mon plaisir et je ne me retenais pas. Je ne retenais pas mes mouvements qui devenaient rapidement frénétiques, violents, rapides. Quand j'arrivais au font de son cul je donnais un violent coup de bassin, à chaque fois ...