L’INTERNAT
Datte: 05/11/2020,
Catégories:
Lesbienne
Masturbation
Première fois
... Elle caresse mes lèvres avant de venir appuyer sur mon clitoris. Ça m’envoie de l’électricité dans le ventre. Son visage glisse entre mes cuisses. Elle pose ses lèvres sur mon clitoris, le tirant des lèvres hors de sa gangue de chair, avant d’appuyer la pointe de sa langue dessus. Je ne peux me retenir de gémir.Ironiquement, de semblables gémissements montent, au même moment des chambres de tout l’internat. Rares sont les filles de l’internat qui ne sont pas en couple, même si ces couples ne sont pas éternels, et se recomposent souvent.En trois ans, j’ai largement eu le temps d’analyser les tenants et les aboutissants des relations à l’internat. Je pourrais même rédiger un mémoire « Analyses des relations humaines à l’internat des filles. »La plupart des filles qui viennent étudier ici sont malheureusement trop loin pour pouvoir rentrer chez elles tous les soirs, aussi elles choisissent de s’installer à l’internat. Avec tous les avantages et tous les inconvénients que cela comporte. L’avantage essentiel, c’est d’éviter des trajets fatigants, et de pouvoir se concentrer sur ses études. L’inconvénient, c’est de se couper de sa famille et d’un petit ami éventuel. Les besoins affectifs ne sont pas assurés. Alors bien sûr, il y a les week-ends et les vacances, mais ce n’est pas pareil.C’est comme cela, dans cette ambiance d’abandon affectif, que les couples se forment. C’est une manière de se sentir plus forte, de pallier ses carences affectives, et plus simplement, de prendre ...
... du plaisir.Quand je me suis installée dans cette chambre que j’occupe depuis presque trois ans, j’ai pensé que ça n’était pas pour moi. Jusqu’au jour où mon chemin a croisé celui de Carole. Je me suis surprise à la regarder comme je n’avais regardé aucune fille avant. Avec du désir. Je n’en ai d’ailleurs pas été tellement surprise. A l’internat on baignait une atmosphère érotique qui a fini par déteindre sur moi.Quand le soir, on regagnait nos chambres, une fois la journée finie, on croisait des filles dans les couloirs, sur les marches des escaliers, qui s’embrassaient, se caressaient, la main fourrée dans le corsage de leur copine ou dans leur culotte, et à moins de mener l’existence d’une fille totalement asexuée, ce qui n’était pas mon cas, l’idée vous montait vite au cerveau que c’était une manière comme une autre d’apaiser ses tensions et de se donner du plaisir.On s’est tournées autour, Carole et moi. Notre première rencontre a eu lieu à la bibliothèque. Je l’ai aperçue, moulée dans un leggins ne laissant rien ignorer de ses charmes, et un débardeur dont ses seins généreux semblaient vouloir s’échapper. Elle avait une silhouette aussi généreuse que son sourire, et j’ai senti ma culotte se mouiller. Il me la fallait. Même si je ne savais pas trop comment faire.Elle a en tout cas senti mon regard sur elle. C’est sans doute pour cela que, les jours suivants, quand nos horaires coïncidaient, elle s’est baladée pas loin de moi, m’offrant ses charmes à mater. Elle s’est ...