1. L'intervention de Nathalie


    Datte: 05/11/2020, Catégories: fh, 2couples, couplus, vacances, noculotte, Oral préservati, pénétratio, bourge,

    ... capote que des deux mains il écarte les cuisses de Catherine, remonte et la pénètre d’un coup, han ! — Non, non, oh non, gémit-elle en remuant la tête mais sans tenter quoi que soit pour empêcher Frédéric de la bourrer. Bien au contraire, elle a les yeux fermés, elle savoure. Julien la regarde intensément, me sourit, met en place la capote et entre en moi sans autre forme de procès. Tout autre geste eût été du temps perdu, j’étais abondamment mouillée et j’avais hâte d’être remplie, moi aussi, et sauvagement. Il est moins volumineux que mon Freddy mais je m’adapte, je suis élastique. Il s’active tout à fait convenablement. Voir Catherine se tordre sous les coups de boutoir de mon fougueux amant habituel me torture délicieusement. Julien est un tendre, il couvre mon cou de petits baisers, en murmurant des mots gentils. Je pince fortement la pointe de mes seins. Il comprend et me remplace.— Tu veux que je pince fort ?— Oui, oui, oui !— Je vais te faire mal.— Pince, pince ! Oh, c’est bon, j’adore !… Il adore aussi. Tous les hommes ont aimé me faire un peu mal en me baisant. Notre commune jouissance est un pur délice. — Oh là là, gémit Catherine en secouant la tête, oh là là… Tout à son plaisir qui monte, Frédéric accélère le mouvement. Julien l’imite, et nous crions tous les quatre au même instant. — C’était bon, c’était très bon, Julien.— Pour moi aussi, Nathalie.— Ta petite amie semble avoir apprécié, elle aussi.— Et ton amant en titre également !— Nous avons fait leur ...
    ... bonheur et le nôtre. Tout est bien. Essoufflé, Julien est couché sur moi, sa bouche sur ma tempe. Il doit ressentir sur ses lèvres les battements de mon artère alors que ceux de son coeur cognent mon téton fort agréablement douloureux encore. Passent quelques minutes calmes, le temps pour chacun de reprendre sa respiration. Je suis en sueur et je me sens poisseuse. Je propose d’aller sous la douche. Frédéric veut y être avec moi, comme d’habitude. Je refuse, et demande aux hommes de commencer, et en vitesse. J’y traîne ensuite une Catherine égarée qui se laisse savonner, rincer et couvrir de petits baisers un peu partout. — Mais, Nathalie, tu n’aimes pourtant pas les femmes ?— Je préfère les hommes, bien sûr. Mais toi je t’aime beaucoup, beaucoup ce soir. Tu sais, la nuit n’est pas finie. Je vais te faire belle pour nos hommes. Le sèche-cheveux sur sa nuque et sa frange. Puis beaucoup plus bas. Presque une vraie blonde, Catherine. Des poils fins, fins, bouclés ! — Écarte donc les cuisses ! Je brosse ensuite, très doucement. Puis j’écarte et, hop, un tout petit bisou, mais avec un coup de langue, quand même, à la fin. — Te voilà prête ! Je la conduis au salon. Nous sommes superbes et sans la moindre pudeur, fières de nos corps de femmes comblées mais qui veulent l’être encore et encore. Nos pachas sont vautrés dans mes fauteuils et sirotent mon cognac. — Au boulot, les mecs, couchés côte à côte, et bandez ! Sinon, je vais en boîte avec Cathy.— Voilà, voilà, on y va, mais faudrait ...