En Martinique, rencontre avec deux touristes allemandes (1)
Datte: 17/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pleine action. Ils étaient en lisière de la forêt et tous les deux entourés de quelques voyeurs et branleurs. Ces spectacles nous excitent et la queue de JB a encore grossi, au point qu’en passant près des couples, nous sommes souvent suivis par le regard des femmes et de certains hommes. C’est vers la fin de la plage, un peu avant les rochers qui en marquent le bout que nous trouvons ce qui nous intéresse, deux femmes. Elles doivent avoir une quarantaine d’années, blondes tous les deux, mais l’une avec les cheveux longs alors que l’autre est coiffée beaucoup plus court. Celle aux cheveux courts est allongée sur le dos et profite du soleil, exhibant une magnifique touffe blonde sur le pubis et des seins un peu tombants aux grosses auréoles, l’autre, sur le ventre, lit un magazine en montrant de grosses fesses rondes marquées par un peu de cellulite. Les deux sont uniformément bronzées, sans la moindre trace de maillot, et les voir ainsi excite particulièrement les jeunes mâles que nous sommes. D’un regard, JB et moi tombons d’accord, sortons les serviettes et nous allongeons à quelques mètres des deux femmes. En entendant le bruit que nous faisons, elles regardent dans notre direction. En nous mettant sur le dos pour profiter des rayons du soleil descendant, nous exhibons tranquillement nos queues à demi-bandées, la mienne est de bonne taille, mais loin de valoir celle de JB. — Tu as vu ? Elles nous matent, ces deux grosses coquines, dit mon ami. — Comment on fait ...
... maintenant ? — Très simple, fais comme moi. JB se redresse un peu et commence à caresser sa queue en regardant directement les deux femmes. Je l’imite, et rapidement nos deux bites sont au meilleur de leur forme. En face, elles regardent vers nous sans se cacher et discutent entre elles dans une langue que je ne comprends pas, peut-être de l’allemand. Nous nous branlons doucement, il s’agit juste de rester bander et vu la situation, ce n’est pas trop difficile. Les deux touristes continuent à nous regarder, puis, sans nous quitter des yeux, celle qui était allongée sur le dos commence à caresser doucement les fesses de sa copine. Cette dernière nous fait alors signe de nous approcher. JB et moi nous levons et marchons vers elles, la bite tendue. Elles nous font signe de nous asseoir en face d’elle. — Hello. How are you ? Leur accent guttural et leur anglais appliqué ne laissent plus de doute, il s’agit d’Allemandes. Hélas, ni moi ni JB ne parlons cette langue, l’échange doit donc continuer en anglais. Celle qui était allongée sur le dos avec les cheveux courts s’appelle Ursula, l’autre qui était sur le ventre, mais qui s’est relevée pour discuter et montre maintenant une paire de seins encore plus gros que ceux de son amie, s’appelle Brigit. En discutant, nous comprenons qu’il s’agit de deux copines venant de Hambourg pour quinze jours de vacances, sans leur mari ni leurs enfants. Elles ont toutes les deux quelques rides sur le visage, mais leurs formes très appétissantes et le fait ...