Retour de bâton
Datte: 06/11/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
extracon,
vengeance,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
attache,
yeuxbandés,
confession,
... s’assoit sur le canapé car maintenant il me guide pour venir sur lui. Ce n’est pas facile de l’enjamber mais toujours sa main m’aide. Quelques contorsions et je sens un bâton qui se dresse entre mes cuisses. Il est à nouveau dur, comme si ma fellation comptait pour du beurre. Pourtant, combien de fois aurais-je voulu qu’il me possède à nouveau lors de nos séances d’avant. À croire que la nouvelle Martine, femme délurée et salope l’inspire. C’est un jeu d’enfant que de me glisser sur ce bâton dressé. Tout en me tenant bien droite pour ne pas perdre l’équilibre je m’empale sur lui. Délice de se sentir envahie par cette verge maritale, vigoureuse et longue comme un jour de printemps. Pas possible, mais il est si long que je pense ne pas en toucher le bout. Mais si, enfin le gland qui avance est stoppé par les couilles contre ma fente. Je me sens bien. Cette queue me fait du bien, juste par sa présence. Et que dire si je bouge sur elle, juste en jouant du bassin. Que du bon. Que du bon. Il m’attire à lui. Je me retrouve allongée, prisonnière de ses bras. Maintenant c’est lui qui joue avec sa queue pour me la faire bien sentir. — Tu aimes ? me glisse-t-il à l’oreille.— Oui ! je réponds dans un souffle. Il s’active en moi. Je sens ses mains sur mes fesses. Il les flatte, les écarte, glisse un doigt dans mon petit trou. — Et là. Tu aimes aussi ?— Oui ! Que répondre d’autre, venant d’une femme qui est sensée s’être fait prendre par plusieurs hommes. — J’ai invité un ami. Le temps ...
... que cette remarque fasse son chemin dans mon cerveau englué par le plaisir, je sens que quelque chose se passe derrière moi. — Lucas, tu n’as pas… ? Trop tard. Immobilisée par des bras puissants, fixée sur le dard de Lucas, je n’ai d’autre choix que de subir. Subir la pression d’un sexe qui force le passage de mon anus et qui s’engage dans mon cul. Il va me déchirer mais je ne sens que la puissance de deux mandrins qui s’affrontent en moi, occupant le plus petit espace disponible. Protester ? Trop tard. L’ami est en moi. Étrangement pas de vraie douleur, juste cette impression que je vais exploser devant les conquérants. Heureusement ils restent immobiles me laissant le temps de m’adapter. Ainsi c’est cela. Le lire, le décrire pour affabuler c’est une chose. Le vivre en est une autre. Je bouge un peu. Ils sont bien là. Je suis prisonnière de ces deux sexes, écrasée contre mon mari dont je sens le souffle contre mon cou. — Alors Martine, tu retrouves les mêmes sensations qu’avec les ouvriers ? Au ton de sa voix je comprends que ce que je lui ai raconté à tout de même du mal à passer. Un instant je vais pour lui avouer mon subterfuge, mais une fois encore j’ai le souvenir de tout ce que j’ai enduré par sa traîtrise et je renonce. — Attends, il manque quelque chose. Et, au même moment, un sexe envahit ma bouche. Je ne peux pas le refuser, plaquée que je suis contre Lucas. Je comprends que mon mari n’a peut-être pas vraiment pardonné et qu’en réalité il cherche à se réapproprier la ...