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Quand on tire le diable par la queue (5)
Datte: 07/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... canadien) Finalement après des formalités un peu longues, elle peut pénétrer dans le territoire de la Confédération Hermétique. (CH), en route vers le jura, pays de montagnes et de forêts qui lui rappellera un peu son Canada, les prospecteurs en moins. En arrivant, il se pose un premier petit problème pour le long terme, la chambre d’amis va bien pour le couple, mais à l’arrivée du bébé, ce sera un peu gênant, surtout la nuit quand on veut dormir. C’est là que Eric, bûcheron, trappeur, charpentier etc va se trouver dans on élément, il propose d’agrandir la maison de Jean, parce que là, il y a de l’espace, ce qui enchante Jean, ni une ni deux, il va après avoir reçu les autorisations nécessaires débarder des troncs dans la forêt, il emprunte à un charretier son cheval pour les amener à la scierie et il commence à agrandir du coté du nord la maison de Jean pour en faire pratiquement une seconde plus grande qui lui est collée. L’hiver peut venir, on sera prêt. Mais qu’en est-il des parties fines ? Là, après la dernière, Richard les invite à leurs rencontres habituelles et ils sont bien surpris par la libéralité des moeurs, surtout quand Maryse qui en est aux derniers jours de vacances a envie de faire connaissance plus intime avec les nouveaux venus. Une fois dévêtu, il n’y a pas de doute, Eric est trop équipé pour sa fille et Jasmine, il leurs déquillerait le guignol du tiroir, donc à part sa compagne qu’il met à disposition des autres, (il en a fait le tour de tout les cotés ...
... et un peu de nouveauté l’attire vraiment.) il propose à Maryse d’essayer sa perforatrice de luxe . – Oui, lui dit-elle, mais pas trop fort au début, même avec Jean, je n’ai jamais été alésée par un tel alésoir. Il va y avoir du travail d’assimilation. – T’en fais pas, je ne suis pas un sauvage, je vais y aller doucement, mais avant, j’ai bien envie de déguster avec la bouche tous tes trésors en commençant par le haut, si tu n’as pas peur de ma moustache, dit-il en avançant une lippe avantageuse en direction de sa bouche. Ça chez nous on l’appelle un french kiss ou french tout court, mais je me souviens dans ma jeunesse, cela se disait une langue fourrée. On le dit toujours ? – Oui, mais il ne faut pas se bloquer au bouffage de museau, il y a d’autres endroits à visiter ! – C’est vrai, montre voir ce qu’il y a de jolis en dessous, ces jolis petits seins, ils m’ont l’air bien appétissants, sans parler de ta moule, dont je sens monter les effluves jusqu’à moi. Je sens qu’on va bien s’amuser les deux. – Et moi Et moi dit Rita. Je vois que tu as un instrument qui m’intéresse. – Chacun son tour, il y en aura pour tout le monde qui désire. – Pour moi, Sasaya m’intrigue vraiment, je me souviens que gamin, j’étais fous des histoires d’indiens, alors, une vrai indienne, c’est mon rêve depuis longtemps. J’adore ses longs cheveux noirs qui lui tombent en dessous des fesses, sans parler de son corps musclé par une vie au grand air, corps que j’aimerai bien découvrir. – Il ne tient qu’à ...