Ma collègue Mireille
Datte: 07/11/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
noculotte,
Oral
fdanus,
fsodo,
confession,
extraconj,
... gicle dans sa bouche de belle salope. Elle avale en souriant. Je me sens subitement très fatigué, voire gêné par la situation. Elle me demande si je vais bien, je lui réponds que je ne suis pas bien, c’est la première fois que je trompe Chiara, et que je me sens coupable d’avoir abusé de la situation. Elle se lève, se réajuste et file à la cuisine. Elle revient quelques minutes après avec un plateau et deux verres de thé glacé. Je sirote mon thé, installé sur une chaise et elle se glisse derrière moi, et commence à me masser les épaules. Elle est très tactile et ce n’est pas la première fois, je m’en étais rendu compte au boulot, mais là, nous sommes seuls. Je m’abandonne à ses caresses, ferme les yeux et me mets à ronronner. Ses caresses se font plus pressantes, je sens ses seins qui frôlent mon dos, son parfum envahit mon espace, elle masse maintenant mes pectoraux et son souffle se raccourcit. — Mais on dirait que je te fais de l’effet, vilain garnement ? Et ta culpabilité ? J’ouvre les yeux et je vois que mon caleçon est déformé par une belle bosse. Je ne sais pas quelle idée saugrenue vient à moi, mais je prends sa main et la glisse sur la bosse. Je m’attends à une claque et j’ai la divine surprise de sentir ses doigts fins me prendre les couilles et les malaxer brutalement. — Oh, Mireille, continue, tu me fais du bien ! J’ai imaginé ce moment si souvent, au bureau !— Ce n’est pas bien, mais si tu ne dis rien à personne, je vais continuer un peu…— Promis, ce sera ...
... entre nous. Elle s’est déplacée, toujours ma bite dans sa main. Elle s’accroupit face à moi, les jambes serrées, perchée sur ses spartiates, et entreprend de me baisser le caleçon. Elle a vite fait de faire apparaître mon membre raidi et de caresser sa joue avec. Je veux voir sa chatte lisse, et même si j’ai toujours été excité par les culottes, cette vision virginale m’excite, et je lui demande d’écarter un peu ses cuisses. Au moment où elle entrouvre doucement ses jambes, et où je devine le petit bouton de son clitoris, elle enfourne ma queue avec appétit, jusqu’au fond de sa gorge. Ma deuxième pipe de la journée. Je rêve ! Je me laisse pomper par sa belle bouche, fasciné par son visage redoublant d’effort animal, et la luisante humidité de son entrecuisse. En me penchant, j’arrive à glisser ma main dans le bas de son dos. J’ai remonté sa jupe en jean et je peux glisser mes doigts entre ses fesses. Mon bras est trop court pour arriver à sa chatte mais mon majeur est idéalement placé sur son anus. Je n’ose pas trop, c’est ma collègue après tout. Je laisse donc mon doigt s’amuser avec son petit trou du cul tout serré, sans le forcer. Elle sort ma bite de sa bouche et me dit : — Mouille ton doigt et enfonce-toi en moi, s’il te plaît. Je m’exécute et mon majeur crochète sa rondelle. Elle remue des fesses pour mieux sentir le mouvement de va-et-vient. Je sens mon sperme qui monte et le lui dit, quand on entend le grincement du portail extérieur. — Oh merde, j’avais oublié, c’est ...