1. La nouvelle vie de Christine Ch. 21


    Datte: 28/06/2017, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... risquée car la nouvelle vie de ma belle-mère pourrait être exposée à la vue de tous. D'un autre côté, le niveau d'humiliation de ma soumise serait augmenté. Je voulais qu'elle soit utilisée par des personnes la connaissant comme une femme intègre et de bonne réputation qui la verraient agir comme une pute de rue bon marché. Sa réputation serait ruinée et je voulais qu'elle soit honteuse et embarrassée. Ainsi mon contrôle sur elle augmenterait. J'étais assis dans le salon avec Christine quand son portable sonna. Elle répondit et instantanément éloigna le téléphone de son oreille. Je pus entendre une voix de femme qui criait. Lorsqu'elle cessa, Christine remit le téléphone à son oreille. Je ne pus entendre qu'un côté de la conversation. - Non.... Non, vous devez vous tromper...Dit Christine en me regardant, clairement inquiète et choquée. Puis elle écouta à nouveau. - Honnêtement, je n'ai aucune idée.... vous rencontrer? Où? Pourquoi? Oh mon dieu..... D'accord, d'accord, mais je ne comprends pas de quoi vous voulez parler. Dit-elle. Quand la communication fut coupée, elle l'enleva de son oreille. - Qui était-ce? Demandai-je tout en connaissant la réponse. En colère, elle me jeta : - Une femme qui m'a dit m'avoir vu baiser son mari au restaurant où vous m'avez emmenée. - Ne me blâme pas salope! Ils ont mérité de te baiser après que tu les aies excités toute la nuit. Criai-je Sa confiance disparut aussi vite qu'elle était arrivée. - Qu'est-ce qu'elle veut de toute façon? ...
    ... Demandai-je. - Elle veut que je la rencontre ce soir à 19h00 au bâtiment de l'équipe de football. Pouvez-vous m'accompagner? - Bien sûr. Dis-je avec un sourire sur mon visage. Nous quittâmes la maison à 18h50 car le stade n'était pas loin. Ce n'était qu'une simple promenade. Christine était encore dans les habits avec lesquels elle avait été au travail. Elle avait simplement rajouté un grand manteau car les nuits devenaient froides. Nous sommes arrivés au terrain de football alors que l'obscurité tombait. Les lumières du bâtiment étaient bien visibles. Il n'y avait personne. Christine me demanda si nous devions voir à l'intérieur. - Oui, pourquoi pas vu que nous sommes là. Dis-je en souriant intérieurement. Ma belle-mère poussa la porte déverrouillée et aussitôt nous entendîmes des voix masculines plaisantant et riant. Mais dès que la porte se referma, le silence s'installa. Je lui tapotai le cul et je la poussai vers la pièce d'où sortaient les voix un moment plus tôt : - Vas-y! - Qu'est-ce qui se passe? Dit-elle en me regardant nerveusement. Je ne répondis pas. Je la poussai vers la salle où je savais que des hommes attendaient. Mais avant que nous y arrivions, une femme en sortit et ferma la porte derrière elle. Nous étions tous les trois au milieu du couloir. - Alors tu es la putain de salope qui a baisé mon mari? Demanda la femme. Elle semblait n'avoir pas plus de 23 ans et je me demandai comment Paul pouvait penser qu'une si jeune femme fut crédible. Mais Christine resta figée ...
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