1. Elles


    Datte: 08/11/2020, Catégories: ffh, fbi, jeunes, asie, extraoffre, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, facial, Oral 69,

    ... l’embrasser. C’est elle qui m’attire alors vers elle et m’embrasse à bouche pleine. Je constate avec plaisir que son haleine a encore l’odeur du con de la femme de ma vie et cela m’excite encore plus. Elle s’allonge sur le lit, écarte ses jambes et, passant ses mains derrière mes reins, m’invite à venir en elle. Ce que je fais, je m’enfonce en elle d’un coup. Son sexe est humide, mouille et salive mêlés. Je lui fais l’amour ainsi pendant une dizaine de minutes, mon sexe allant et venant en elle. Puis, à mon tour, je m’allonge et la laisse venir sur moi ; Je tourne la tête et je vois You Soun, dans le fauteuil en osier, les jambes écartées, délicieusement obscène, une main sur ses seins en poire, une autre sur son sexe, qui se masturbe en nous regardant. Elle m’envoie un baiser, je lui réponds du bout des lèvres. Laurence est donc maintenant sur moi. Je lui retire son débardeur afin de pouvoir contempler sa très belle poitrine, deux beaux globes de chair blanche, que je caresse avec avidité. Mais bientôt, je pense à You Soun. D’où elle est, elle ne doit pas voir grand chose et je force alors Laurence à se coucher sur moi. Avec mes deux mains, j’écarte alors son cul pour que ma chérie puisse contempler mes mains fouillant l’intimité de son amie. Dans cette position, le clitoris de Laurence frotte sur mon bas-ventre et cela accentue son ...
    ... plaisir. Quelques minutes de plus dans cette position et elle jouis très fort, se mordant les lèvres pour ne pas crier. Mais ce n’est pas en elle que, moi, je veux jouir. Je sors ma queue de sa chatte, je l’embrasse, et lui demande de venir avec moi. Lui prenant la main, je l’amène avec moi près du fauteuil d’osier. You Soun nous voit arriver, se masturbant doucement, souriante, et je mets la main de Laurence sur ma queue pour qu’elle me branle au-dessus du visage et de la poitrine de mon amour. Après quelques vas et viens, je jouis à mon tour. Mon sperme, chaud, épais à force d’avoir été contenu, inonde le visage et les seins de ma bien aimée. Elle se lève et nous attirant tous les deux à elle, commence à nous embrasser. Nos trois langues se mêlent. Nous allons vers le lit, où elles s’endorment heureuses. Pour moi ce bonheur n’en finit pas et je ne peux pas dormir. Ma cigarette finit, je reprends le livre de Botero et je vais lire dans la cuisine. « Rien ne retenait donc les vieux Babyloniens sur le chemin du plaisir, et même bien des appels pouvaient les inciter à se laisser aller à leurs penchants amoureux, lesquels n’étaient certainement pas moindres que les nôtres. C’est pourquoi l’amour libre (…) a pu s’épanouir chez eux assez singulièrement. » (1) (1)Jean Botero in La Mésopotamie : l’écriture, la raison et les dieux, Gallimard, 1987 
«1234»