Repos dominical
Datte: 09/11/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
chaussures,
Oral
69,
fsodo,
jeu,
amourcach,
bourge,
Résumé des épisodes précédents : Après un bien agréable samedi passé dans les bureaux de Jérôme, situés sur la plus belle avenue du monde, Hélène vient de prendre le taxi pour rentrer chez elle. ___________________________________________________ Le taxi s’était éloigné, et Hélène avec lui. Resté seul dans son bureau des Champs-Élysées, Jérôme repassait dans sa tête certains des moments somptueux passés avec sa belle et élégante partenaire quand il se souvint que celle-ci avait laissé, dans le tiroir de son bureau, un mot écrit qu’il entreprit de lire. Il prit la lettre qu’elle avait volontairement placée dans le tiroir, sur sa culotte, encore bien humide et témoin de ses émois les plus intimes. Elle avait pensé que son amant aimerait trouver, en cette culotte odorante, un aimable petit souvenir dans lequel il se donnerait peut-être un ultime plaisir personnel. Elle avait, dans le taxi, sourit intérieurement à cette perspective. S’installant confortant dans un fauteuil et tout en humant de temps en temps les vestiges qui s’exhalaient de ce doux trophée, comme on respire l’arôme d’un bon vin ou l’odeur suave d’un cigare qui se consume lentement, il commença la lecture de ce message. Le message était direct et directif, n’appelait pas de réponse et ne laissait pas place à la discussion. Ainsi donc Hélène envisageait-elle de mettre à profit le lointain voyage d’affaires de son mari, qui se prolongeait, pour compléter le bel échange que Jérôme et elle-même avait engagé. Il ...
... n’hésita évidemment pas et se rendit le lendemain à l’heure indiquée dans les bureaux de sa maîtresse qui lui en avait donné l’adresse et les codes d’accès, dans un de ces superbes et confortables buildings de la Défense qui disposent de locaux confortables et de belles vues sur Paris. Elle lui ouvrit elle-même car il n’y avait personne dans les locaux en ce jour de repos dominical. Elle s’était habillée comme il ne l’avait encore jamais vue. Délaissant ses habituels tailleurs de très bon goût mais assez stricts, de femme d’affaires qu’elle portait avec grande classe. Elle avait revêtu ce jour-là une jupe de cuir noir, très ajustée, qui se terminait juste au-dessus du genou ; un chemisier blanc, de tissu assez fin et très transparent qui permettait de constater l’absence totale et délibérée de soutien-gorge. Bien entendu, elle était montée sur de hauts escarpins qui portaient bellement ses jambes admirablement fuselées. Ils s’embrassèrent longuement, lentement et profondément, comme pour rechercher les éventuels vestiges de la journée précédente, avant de prendre place dans les fauteuils confortables et profonds du bureau d’Hélène, où ils prirent doucement le café quelle avait préparé. — C’est vrai Hélène, que vos bureaux me paraissent également bien agréables et ce premier moment est prometteur. Et vous-même, que je n’avais jamais vue ainsi habillée, êtes très élégante. Juste une question, si vous me le permettez, à laquelle je n’ai pas encore la réponse : bas ou collants ?— Vous ...