1. Les bachelières (2)


    Datte: 09/11/2020, Catégories: Lesbienne

    ... mettre la table pendant que tu termines la salade. — D’accord, j’aurai vite fini. Et dix minutes plus tard nous sommes attablées. Comme c’est dimanche, nous nous accordons un verre de rosé avec notre repas. A 14h00 nous reprenons le travail. J’ai repris mes esprits et nous abattons un solide boulot jusqu’à 15h00. Là, première pause de l’après-midi. Je me lève de table et vais m’asseoir dans le canapé, histoire de me détendre un peu. Morgane vient s’installer à genoux à mes côtés et se penche vers moi. Sa chemise, largement entrouverte, pend sous elle et m’offre une vue imprenable sur ses jolis seins. Elle me regarde droit dans les yeux. — Je te plais ? — Pardon ? Qu’est-ce que tu veux dire Morgane ? — Allons, ne fais pas l’innocente Mélanie, je sais bien que tu me regardais hier soir pendant que je me branlais. Je connais cette maison et toutes ses particularités par cœur. Entre autres, les bruits du plancher. C’est comme ça que j’ai su que tu te levais vers 23h30. Et ce n’est pas par hasard que j’ai allumé la lumière et que je me suis masturbée. J’espérais bien que tu me materais. Je t’ai entendue t’arrêter sur la latte de plancher devant ma porte et j’ai su que tu regardais. Puis, baissant les yeux vers sa chemise béante : — Vas-y, touche-les. Tu en meurs d’envie ... et moi aussi. Et là, l’image de mon amie occupée à se branler me revient brusquement. Sans plus réfléchir, je passe mes mains dans l’échancrure de sa chemise et les pose sur ses seins. Quelle sensation ! C’est ...
    ... la première fois que je touche les seins d’une autre fille et ça me rend toute chose. Ils sont doux et chauds, à la fois fermes et souples, assez volumineux pour son âge (j’apprendrai plus tard qu’elle porte du 90C). Je les caresse en m’attardant sur les pointes qui durcissent. Morgane a fermé les yeux. Elle savoure ... Puis, elle pose ses lèvres brûlantes sur les miennes, pousse sa langue entre mes dents et l’enroule autour la mienne. A son tour, elle glisse les mains sous mon tee-shirt, palpe mes seins, les pétrit puis, passant dans mon dos, elle dégrafe mon soutif et lève les bras, entraînant tout dans son mouvement. En une seconde, mon soutien et mon tee-shirt se retrouvent au pied du canapé. Dans la foulée, elle s’attaque à ma jupe et mon slip qu’elle tire vigoureusement vers le bas. Sa fougue me fait perdre tout sens de la réalité et, au lieu de protester et de m’opposer à ses gestes, je soulève les reins pour faciliter le passage de mes derniers vêtements. C’est ainsi qu’en quelques instants, je me retrouve entièrement à poil devant Morgane qui s’extasie : — Mon Dieu, Mélanie, que tu es belle ! Il y a si longtemps que je voulais te voir nue et enfin ce moment est arrivé. Elle se couche de tout son long sur moi et je sens ses seins s’écraser contre les miens. Je suis brusquement prise d’une vague de désir et j’arrache sa chemise pour pouvoir les caresser, les lécher, les malaxer ... Morgane se relève et me prend par la main. — Viens. Et elle m’entraîne vers l’escalier. ...
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