Double initiation
Datte: 09/11/2020,
Catégories:
fh,
fffh,
magasin,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
BDSM / Fétichisme
Transexuels
Oral
pénétratio,
hgode,
jeu,
yeuxbandés,
gifle,
Nous avions depuis pas mal de temps changé de pratique en ce qui concerne notre vie sexuelle. L’âge étant là, nos capacités avaient diminué. Pendant quelques mois, nous nous étions cherché des excuses mais la réalité était toute autre : finies les « parties de jambes en l’air ». L’heure plus subtile des pratiques cérébrales allait commencer. Les cartes, les dés, les jeux de situations autant de moyens qui nous ont aidés à passer le cap. L’érotisme était toujours présent mais l’acte final était souvent escamoté. Un jour en consultant le Web, je tombai en arrêt devant un article simple mais très clair portant sur la domination féminine. Je le dévorai et le proposai aussitôt au jugement de ma femme. — Très bon, compréhensible et réalisable si chacun d’entre nous fait un petit effort ! s’exclama-t-elle. Les premières actions furent source de quelque fou rire. Petit à petit nous avons accroché et les situations proposées furent source de joie et de renouveau. J’étais de plus en plus heureux d’être soumis et ma Maîtresse m’apparaissait un peu plus belle et désirable chaque jour. La position de dominant et de soumis était la recherche permanente de plaisirs. Ma femme me laissait agir dans la vie courante mais dès qu’elle le décidait, elle prenait la main. Elle décidait par exemple que nous irions au restaurant, elle me demandait de la laver les yeux clos par un bandeau, de lui tendre les vêtements ; puis pendant qu’elle terminait de se faire belle, je devais à mon tour m’habiller ...
... selon ses désirs me préparer en un temps record pour éviter de la faire attendre c’était le plus souvent classique avec une touche personnelle de Maîtresse : plug anal ou collier à garder toute la soirée. Au restaurant, elle prenait toutes les décisions, je n’avais le droit de parler que sur un signe discret qu’elle m’adressait. Inutile de vous expliquer la tension générée par une telle soirée. Et pourtant, ma soumission continuait à notre retour. Elle commandait, j’obéissais. Nous avions trouvé un moyen formidable pour continuer notre vie d’amour, de fidélité ; un seul mot : merveilleux ! Si je vous raconte tout cela, c’est pour arriver à vous narrer une aventure qui nous est arrivée il y a peu de temps. Ma femme avait décidé d’inviter deux de ses copines pour boire un café. Je m’apprêtais à quitter la maison quand ma Maîtresse me dit : — Tu restes là, tu ne participeras pas, mais je veux que tu écoutes, ta place sera donc dans le placard sous l’escalier. À l’heure dite, les deux copines sonnent à la porte d’entrée. Ma femme va les accueillir et moi je gagne la place qui m’a été assignée. Embrassades, rires, installation, les trois filles sont prêtes à bavarder. Les généralités sont vite épuisées, la discussion prend un tour plus intime. Patricia laisse tomber qu’elle quitte son mari et qu’elle pense qu’elle va enfin respirer. Ces deux-là étaient arrivés au bout de leur histoire sans jamais l’avoir commencée. D’après les propos de Patricia, les deux autres comprennent qu’elle ...