Souvenirs d'un timide (1ère partie : Christelle)
Datte: 11/11/2020,
Catégories:
fh,
frousses,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
groscul,
école,
volupté,
revede,
Oral
pénétratio,
fsodo,
uro,
J’ai 35 ans et je suis enseignant de mathématiques dans un collège de la banlieue lilloise. Je suis marié avec une femme adorable et très gentille, que j’aime beaucoup, au physique tel que je l’aime, c’est-à-dire une forte poitrine et des rondeurs juste où il faut, mais qui malheureusement n’est pas toujours très portée sur le sexe. Ma timidité, surtout ma pudeur en ce qui concerne les sentiments, font que je suis souvent obligé de me soulager manuellement. Or, il m’est arrivé un évènement extraordinaire lors d’une année scolaire passée, que je vais vous rapporter ici. Mon histoire commence début septembre, avec une petite pluie fine et froide, un ciel plombé dont les reflets oscillent du gris blanc au gris noir, et des bourrasques de vent assez violentes. La météo aidant, le moral n’est pas au beau fixe en ce jour de prérentrée. Comme chaque année je dois subir la réunion de rentrée, avec le discours du chef qui s’éternise et ne passionne plus personne. Pourtant à ce moment, il présente les quelques nouveaux collègues, qui passeront l’année avec nous. Christelle en fait partie, jeune professeur d’espagnol, plutôt intimidée, dont la longue chevelure rousse ensoleillée détone avec la grisaille humide de cette rentrée. Midi, enfin cette réunion s’achève, le pot de l’amitié permet de revoir les anciens collègues, de discuter des vacances qui viennent de se terminer, et de découvrir les nouveaux. Le hasard fait parfois bien les choses, en effet la secrétaire sachant que j’habite ...
... le coin depuis longtemps, me présente Christelle, qui cherche à se loger dans la région. Je lui indique alors les différentes adresses des agences immobilières dans les environs, en lui conseillant également les notaires et la mairie. Je découvre alors vraiment la charmante jeune femme, ses yeux verts rieurs, dissimulés derrière une paire de lunettes aux verres gigantesques, son petit nez retroussé agréablement parsemé de tâches de rousseur, ses lèvres charnues bien dessinées, sa voix très douce. La surprise vient après, alors que je vais lui chercher un verre, en revenant, je l’aperçois de profil et découvre une impressionnante poitrine que je n’avais pas remarquée auparavant car elle est cachée sous un chemisier très ample et une étole. Le reste, du moins ce que je peux en voir, est tout en proportion, ronde mais pas trop. En discutant avec elle, je m’aperçois qu’en plus d’un physique très agréable, Christelle est une personne très sensible qui a les pieds sur terre, loin de toutes ces conversations soi-disant hautement philosophiques, mais qui ressemblent surtout à une masturbation de l’esprit, que l’on entend trop souvent en salle des professeurs. En lui apportant son jus de fruits, un collègue nous bouscule un peu, et mon bras vient s’écraser sur la poitrine de Christelle. La sensation est merveilleuse, le contact avec cette chair douce, tiède, molle, est tellement érotique qu’aussitôt mon sexe se tend dans mon jean, à me faire mal. Christelle est cramoisie, je ne sais ...