Explorations immobilières
Datte: 11/11/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Masturbation
intermast,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
extraconj,
... aussi. Quittant ses lèvres, déposant mille petits baisers, je glisse lentement sur son cou, sur son large torse, je taquine ses tétons érectiles au passage, puis je continue à descendre petit à petit vers son ventre pour arriver à cette verge bien dressée. Puis telle une belle sucette, je l’accueille suavement entre mes lèvres et je commence une douce fellation sous l’eau chaude qui continue de ruisseler sur nous. Amoureusement, je choie ce bâton de chair frémissant, je lèche son bout écarlate, je taquine son frein tendu, ses faibles replis, pour ensuite suivre du bout de ma langue une tige palpitante. Bien vite, je sens qu’Arnaud ne va pas résister bien longtemps à mes diverses agaceries. Alors je lui susurre : — Vas-y, laisse-toi aller !— Je… je peux ?— Oui, vas-y, remplis ma bouche de foutre ! Puis joignant le geste à la parole, j’absorbe son sexe. Deux-trois va-et-vient et déjà une première goutte perle. Je la capture goulûment. Devant cette preuve de ma gourmandise, Arnaud se laisse alors aller ; une première salve chaude remplit ma bouche. Sans effort, j’avale ce qu’il m’offre. Une deuxième la remplace aussitôt, suivie de bien d’autres. J’aime ce genre de sucette, surtout l’effet qu’elle produit sur mon homme, celui que je sers, celui que je suce, celui que j’avale. Et je sais que les hommes sont fous de ça ! Puis la sentant mollir entre mes lèvres, je l’abandonne après lui avoir donnée un dernier baiser. Je remonte vers les lèvres de mon amant, et c’est avec ma bouche ...
... encore un peu maculée que nous nous embrassons à nouveau comme des fous. Notre douche dure bien plus longtemps qu’elle ne devrait, mais qu’importe ! Ce n’est pas tous les matins que j’ai droit à pareil extra dans ma vie un peu routinière… C’est ensemble, collés l’un à l’autre, que nous revenons dans la chambre, à peine séchés, nos cheveux toujours humides. Sans plus de préambule, il m’ordonne de me mettre à quatre pattes sur le lit, puis me prend en levrette. Même si c’est quand même un peu à la hussarde, ça me plaît beaucoup ! D’ailleurs, je me demande ce qui pourrait me déplaire ! Décidément, je vire à la grosse cochonne qu’on peut prendre selon son désir ! Tout en me trimant sans complexe, Arnaud grogne : — J’ai trop envie de toi !— Je vois ça !— J’en une folle envie de te remplir de sperme et que tu le gardes toute la journée !— T’es bien possessif, toi ! Et puis, du sperme, t’en as encore ? Je viens juste de te vider les couilles sous la douche !— T’inquiète ! Avec toi, j’ai des réserves inépuisables !— Vantard ! Il n’empêche que nous jouissons tous les deux en même temps, lui en moi, et moi avec mes doigts sur ma chatte détrempée ! Je le sens me remplir de sa semence, marquant ainsi son territoire de façon atavique et bestiale, mais j’aime être la chose d’un homme qui me désire tant ! Mais hélas, toutes les meilleures choses ont une fin, mais je sais qu’elles peuvent recommencer un autre jour, je le sais, je le sens… — Il faut y aller, mon gros cochon, mais crois-moi, ...