La Belle des Années folles - ch. 4
Datte: 11/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... fois que Jeanne se fait embrasser par une femme. De cela aussi elle en a rêvé pour les mêmes raisons que celle d’être un jour enculée : la curiosité. Elle n'en a aucun dégoût, bien au contraire. C’est vrai qu'elle préfère de beaucoup les hommes, à tout point de vue, mais elle doit s'avouer que les femmes ont une langue plus fine, plus précise, qui titille davantage que la langue des hommes, qui elle, est plus fougueuse, plus virile… De même les femmes donnent à leur baiser plus de sensualité, plus de subtilité. Bref, le plaisir est différent, même si elle ne peut dire qu'il soit meilleur dans un cas ou dans l'autre… Bientôt une pause quasi spontanée s'instaure dans le bouge. Un groupe s'arrête, puis l’instant d’après c’est celui de droite avec la femme dans le fauteuil qui rompt son action, alors que dans celui de Jeanne, les jouissances finissaient. A gauche aussi le groupe le plus nombreux, s'arrête à son tour et ses membres regagnent la grande table où déjà les choses ont là aussi, pris fin… Jeanne encore toute imprégnée de foutre et de jouissance, l'entrejambes mouillée, laisse retomber sa robe légère sur ses hanches et ses fesses. Elle ramasse sa culotte et s’aperçoit que celle-ci est toute mouillée. La femme rousse lui donne l’explication en venant s'excuser : lorsqu’elle a enlevé la culotte de Jeanne pour lui libérer les jambes, elle a posé cette culotte à terre à côté d’elle ; puis un peu plus tard, sans y prêter attention, elle s’est assise dessus. Et comme elle a ...
... abondamment déchargé pendant toute la scène, la culotte se retrouve trempée. -" Bien évidemment, dit-elle, je ne l’ai pas fait exprès… Je vous propose de vous en offrir une autre. Donnez-moi, votre adresse et je vous la ferai porter… " Jeanne la remercie d’un baiser très profond et très appuyé, que l’autre lui rend sur le champ. La culotte que Jeanne renfile lui colle de partout, tant elle est mouillée… Dieu ce n’est possible pense-t-elle. Et elle décide de la laisser là, par terre. Tant pis si elle est sans culotte. Dans cet endroit, elle ne sera pas la seule ! Et même un moment, cette idée de se promener sans culotte, l’excite. Et si quelqu’un avait envie de la trousser et de lui écarter les fesses, cela ne serait pas pour lui déplaire, hein !... Puis Jeanne cherche ensuite une chaussure. Elle la retrouve sous le fauteuil à droite où la fille était entreprise par trois au quatre types ; celle-là même qu’elle a vu un moment se faire prendre en double. Le tissu du fauteuil montre, à l’endroit où la fille était assise, une très large tâche humide, sans doute est-il imprégné de cyprine et de sperme… A cet instant, Jeanne à une envie quasi irrépressible de se pencher sur le fond du fauteuil pour en sentir furtivement le tissu taché. En même temps que cette envie, elle ressent un violent pincement au clitoris… Elle hésite puis se ravise, ayant peur d'être surprise dans un tel mouvement… Elle décide d’aller vers la grande table, en face d’où elle se trouvait tout à l’heure avec ...