La Belle des Années folles - ch. 4
Datte: 11/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... qu'elle a dans son cul est d'un diamètre bien au-dessus de la moyenne. Le membre pistonne le sphincter en faisant sortir une sorte de laitance blanchâtre dont Jeanne ignore la provenance. Au-dessus, le membre qui œuvre dans le con a lui, un diamètre similaire, mais ses aller-et-retour paraissent plus aisés, sans doute parce que le vagin se dilate plus facilement. La cyprine qui s'échappe d'entre les lèvres, coule le long de la tige à chaque retrait de la bite, et reflue dans le trou à chaque coup de piston du membre. La liqueur, dégouline et mouille progressivement jusqu'aux aux couilles du baiseur puis coule ensuite sur les couilles de celui qui par-dessous, encule... Jeanne remarque que le mouvement synchrone des deux fouteurs est inverse. L'un s'enfonce dans le con quand l'autre se retire du cul et inversement… Parfois pourtant les deux s'enfoncent en même temps dans leur trou respectif. A ce moment-là on entend la femme pousser un cri plus fort que les autres et elle semble jouir plus intensément, ce qu'une nouvelle bordée de liqueur signale en s'échappant en abondance du con de la femme… Jeanne comprend enfin ce qui a failli lui arriver il y a cinq ans avec les deux soldats. C’est aussi ce sur quoi depuis longtemps elle fantasme : comment une femme peut être prise devant et derrière en même temps… Une femme ''encon-culée'' ! Quand on pense que, de nos jours, seulement une femme sur cent environ, connaîtra cela dans sa vie sexuelle. Alors à cette époque en 1920, ce ...
... devait être une sur mille ! La femme qui se tient à côté du trio, se penche entre les jambes des deux hommes ; une longue chevelure blonde, obture alors la vision de Jeanne. Dans cette position, à quatre pattes, la tête fourrée entre les jambes des mecs, elle leur suce la base de la bite et les couilles. Avec un visage fin, et un corps parfait, elle semble avoir la quarantaine, peut-être un peu plus. Il arrive que la femme blonde, lorsqu'elle suce la base des membres alors qu'ils restent un temps à fond dans les trous, remonte son visage jusqu'à la raie des fesses du baiseur, et là, elle lui lèche la rondelle, passant et repassant sa langue sur l'œillet… Jeanne se demande ce que cela peut bien faire à l'homme qui reçoit cette caresse… A moins que ce soit la femme qui en tire de l'excitation ? Dans les va et vient, elle s’avance alternativement vers l'un puis vers l'autre, aspirant la cyprine qui dégouline le long des bites et sur les couilles et dont elle semble se délecter… De temps à autre, elle sort l'un ou l'autre des membres. Le plus souvent la bite de celui qui enconne, elle la suce, la pompe et le nettoie du bout de sa langue. Puis, reprenant le braquemart en main, elle le remet à l'entrée du trou d'où il était sorti ; l'homme le fait entrer en le poussant d'un coup de rein… Jeanne, pleine de curiosité, peut enfin se rendre compte des dimensions des sexes lors de ces sorties des trous. Celui qui est dans le cul est assez court, mais très gros et surtout noueux avec à sa ...